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Muriel Salmona : “À six ans, ma mère m’a livrée à des pédocriminels”

tag : addictions, monstrueux, symptômes, traumatismes
by : Dominique Mathey
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Samedi 17 janvier, au milieu du tsunami de tweets aussi poignants les uns que les autres qui déferlent avec le hashtag #metooinceste, lancé par l’association Nous toutes, un tweet en particulier, nous interpelle.

Il a été écrit par la psychiatre Muriel Salmona, figure médiatique connue pour son combat pour la reconnaissance de l’amnésie traumatique, notamment après des violences sexuelles. La fondatrice de l’association Mémoire traumatique et victimologie milite pour l’imprescriptibilité des crimes sexuels. Que le docteur Muriel Salmona donne l’exemple en témoignant courageusement, elle aussi, ne peut qu’inciter d’autres victimes qui n’osaient toujours pas le faire à briser l’omerta.

“C’est un moment historique”, s’est-elle réjouie, quand nous l’avons appelée, pour lui demander, à la suite de son début de témoignage sur Twitter, de nous en dire plus sur cette “proche” qui l’a livrée à des pédocriminels.

Le livre choc de Camille Kouchner, qui accuse son beau-père, le politologue Olivier Duhamel, du viol incestueux de son frère jumeau, n’a pas fini de desceller les bouches. “On en est à plus de 41 000 tweets avec le hashtag #metooinceste. Et cette fois, ça ne s’arrêtera pas. Comme dans les explosions volcaniques, il y aura des répliques après les premières grandes secousses.”

Nous lui laissons la parole.

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“Après, c’est le trou noir“

“Mon père tenait une boucherie, et ma mère s’occupait des livraisons. C’était une très belle femme, qui avait plein d’histoires avec d’autres hommes. Mon père en était très malheureux. Alors il buvait, et il était souvent hors-sol. Il avait des traumatismes d’enfance lui-même. Il avait aussi fait l’Indochine, comme soldat, et était totalement incapable d’affronter cette réalité-là, les aventures de sa femme.

Je ne sais pas s’il y a eu plus que ces actes-là, malgré tous mes efforts pour me rappeler

Un jour, j’avais 6 ans, ma mère, qui faisait des livraisons de viande, donc des rencontres un peu partout, m’a emmenée dans une villa près de Verneuil-sur Seine. D’après ce qu’elle racontait, il y avait là des gens issus du monde du cinéma, des producteurs de films. Ma mère intéressait peut-être ces gens-là parce qu’à 28 ans, elle était très belle. Elle a donc disparu. Je me vois toute seule, avec un paquet de viande sur un tabouret, et moi posée sur un autre tabouret, au milieu de plusieurs hommes à qui elle m’a laissée. Je me rappelle juste que des hommes ont “joué” avec moi.

Je me souviens des pénétrations digitales. Je ne sais pas s’il y a eu plus que ces actes-là, malgré tous mes efforts pour me rappeler. Après, c’est le trou noir. Mais j’ai plein d’autres symptômes, donc c’est possible qu’il y ait eu plus. Je me souviens que c’était l’hiver, parce que parmi mes symptômes, il y avait des crises d’angoisse quand je devais marcher sur de la neige tassée qui crisse. Ça m’est passé parce que j’ai tout identifié. Mais avant, vivre cette sensation, c’était impossible pour moi.

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“Pendant près de cinq ans, j’ai été l’ombre d’un enfant”

La villa de Verneuil, c’est la violence inaugurale. Ma mère était violente physiquement et verbalement avec moi. La boucherie a fait faillite six mois plus tard, et moi je suis entrée dans une phase de tunnel total

Pendant près de cinq ans, j’ai été l’ombre d’un enfant. J’étais morte psychiquement. Je ne parlais pas. Personne n’en avait rien à faire, j’étais dans mon coin. Je ne bougeais pas.. Chez ma grand-mère maternelle, on disait d’ailleurs que c’était génial de me garder, parce que je me réfugiais sous la table, et je restais là pendant des heures, avec une épingle et un peu de fil (ma grand-mère était couturière), et je jouais avec des bouts de tissu des épingles et du fil qui étaient par terre. Je fabriquais des petits personnages.

Fille unique, je n’embêtais personne. J’étais toute seule. (Ça me donne envie de pleurer, d’y repenser).

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“Je pleurais en cachette toute les nuits”

Je n’ai aucun souvenir non plus de mes premières années d’école primaire jusqu’en CM1. Aucune image d’école, de copine, ou d’instit. Je sais juste, parce des membres de la famille me l’ont rapporté, que j’étais, là encore, complètement isolée. J’étais en échec scolaire absolu, dernière de la classe (j’ai retrouvé quelques bulletins de notes éloquents). Ma mère ne se préoccupait ni de moi, ni de mes études. 

J’avais eu une première année de CM2 catastrophique. J’ai redoublé, et ma deuxième année de CM2 a été un peu meilleure. Mon père a trouvé un travail, ma mère a repris son métier de couturière. Ils se sont un peu stabilisés, et j’étais moins en danger continuel. J’avais un peu plus de 10 ans, quand on a déménagé à La Garenne-Colombes.

Et quand je suis rentrée au collège, c’est reparti. J’ai pu travailler, j’ai tout repris en main. Avec plein de souffrances, de mal être, des cauchemars toutes les nuits. Je pleurais en cachette toute les nuits, car pendant la journée je n’avais pas le droit d’être triste et de pleurer. Mais je reprenais enfin vie, avec des rayons de soleil, une éclaircie.

“J’ai commencé à me battre”

C’est une petite chienne qui m’a redonné le goût de vivre, parce que je me sentais moins seule et en confiance avec elle. Et puis des profs au collège. Je leur en suis tellement reconnaissante.

Soit je mourais rapidement, parce que ce n’était pas la peine de continuer à vivre, soit je changeais le monde.

Le deal, pour moi était simple : soit je mourais rapidement, parce que ce n’était pas la peine de continuer à vivre, soit je changeais le monde. A 13 ans , je m’en rappelle, j’ai choisi la deuxième option, et je l’ai écrit dans mon livre, Le livre noir des violences sexuelles. Et je n’en démordrais pas. Désormais, je me battrais pour que les plus vulnérables, les enfants, les femmes soient protégés. Après j’ai eu une rage de vivre, et de lutter, une soif de connaissances, beaucoup d’amis. J’ai commencé à me battre.

Une mémoire traumatique et ses symptômes terrifiants

Dans un premier temps, j’avais pensé à devenir prof, puis médecin, des professions en première ligne pour aider les enfants. Mais dans ma famille, les études supérieures étaient impensables.

Ma mère me hurlait dessus parce que je travaillais le soir et que je consommais de l’électricité. Je n’avais pas de chambre à moi, pas de bureau pour travailler. Nous vivions dans un studio, avec une pièce qui faisait office de salle à manger d’un côté, et chambre des parents de l’autre.

Après la faillite de mon père, on a même vécu dans une cave aménagée. Il fallait lutter jour après jour avec une mémoire traumatique et ses symptômes terrifiants… Je préfère ne pas en parler si ce n’est que je voyais des scènes sexuelles et des sensations de doigts en moi.

Ce sont la littérature, les arts plastiques qui m’ont donné les premières réponses et la force de chercher coûte que coûte à comprendre. Ils m’ont également permis de m’évader.

Des cauchemars récurrents

Dans mes cauchemars récurrents, j’étais écrasée par d’énormes masses que j’essayais de fuir. On m’arrêtait, et des hommes me mettaient dans un train.

J’ai commencé très jeune à lire des livres sur la Shoah. Réduite à un objet, je me suis complètement identifiée aux millions de juifs assassinés, je me sentais juive. Je dirais, par analogie, que j’ai été déportée de mon histoire d’enfant. Car dans cette villa de Verneuil-sur-Seine, on m’a tuée, même si j’étais toujours vivante.

Violer un enfant, c’est le réduire à un objet, c’est viser à détruire son humanité

Certains juristes et politiques refusent l’imprescriptibilité du crime de viol sur des enfants, parce que seuls les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles. Selon eux, rendre le viol d’enfant imprescriptible, ce serait donc banaliser la Shoah. Mais violer un enfant, c’est le réduire à un objet, c’est viser à détruire son humanité.

Et puis j’ai rencontré mon mari, dont toute une partie de la famille a été exterminée dans les chambres à gaz. Nous avons fait ensemble des recherches sur une de ses tantes, Dinah qui a été assassinée au camp de Sobibor. C’est nous qui avons découvert où elle avait été déportée et assassinée avec son mari et ses beaux parents, après avoir été raflée au port de Marseille.

Je l’ai accompagné là-dessus, je me suis beaucoup investie, et je me suis convertie au judaïsme (libéral, étant féministe).

Une jeunesse fracassée

Quant à ma mère, j’ai toujours eu de très mauvaises relations avec elle, mais j’avais gardé des liens très distendus. Je me suis tout de même occupée de pas mal de choses quand elle est entrée dans la dépendance du grand âge. Si elle avait été cette femme maltraitante avec moi, c’est qu’elle même avait eue une jeunesse fracassée. Ça n’excuse pas sa violence, sa méchanceté vis-à-vis de moi, mais ça peut l’expliquer.

Vue de l’extérieur, elle pouvait paraître très gentille et accueillante. Je me rappelle que quand j’ai redoublé mon CM2, j’ai enfin eu une amie. Et elle trouvait ma mère géniale. Cette femme était double. Classique.

Après le décès de mon père, elle s’est mise en ménage avec une espèce de sale type. Quand elle est décédée, il y a trois ans, – c’est pour cela que je me sens libre de la dénoncer, – il a fallu vider sa maison.

Dans ses affaires, nous avons trouvé des preuves que dans sa jeunesse, elle admirait Pétain. Logiquement, elle n’a pas supporté que je me marie avec un Juif. Quand je me suis convertie, ça a été insupportable pour elle.

Lire aussi :
  • “Ou peut-être une nuit”, le podcast qui brise le silence autour de l’inceste, dernier tabou post-MeToo
  • Isabelle Aubry, présidente de l’association “Face à l’inceste” : “Il faut arrêter de minimiser et cacher ce tabou”

Un travail sur moi monstrueux

Mon père, de son côté, est mort prématurément à 48 ans, alors que j’étais en terminale. Intoxication alcoolo-tabagique. Pour ne plus ressentir ses traumatismes, j’en étais persuadée.

Ça m’a d’ailleurs “vaccinée”. J’ai pu gérer mon propre trauma sans sombrer dans les addictions en tout genre . Et tout cela m’a encore plus confortée dans mon projet de faire médecine.

Je suis donc devenue médecin psychiatre, engagée dans une pratique professionnelle en lien avec la psychotraumatologie, c’est-à–dire qui met en évidence le lien entre les violences subies et certains symptômes psychiques ou psychiatriques. Pour que je regarde mon passé, il a fallu un travail sur moi monstrueux. J’ai été soutenue par mon mari, et par mes enfants, qui sont extraordinaires.

Et c’est tout cela qui m’a mise dans mon chemin actuel.”

Par Corine Goldberger

https://www.marieclaire.fr/muriel-salmona-a-six-ans-ma-mere-m-a-livree-a-des-pedocriminels,1369067.asp

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