Violence féminine

Violence féminine

Pourquoi ce site sur la violence féminine ? La violence féminine se heurte à un tabou. On parle peu de la sexualité de la femme. Une femme ne peut qu’être protectrice, maternante et ceci est fortement ancrée dans tous les esprits.  De plus, il est impensable qu’une mère utilise son enfant comme objet sexuel, ou de chantage, ou de manipulation. Mais la violence sous toutes ses formes, n’a pas de sexe. Un progrès aujourd’hui s’impose. Il est nécessaire de participer à briser le mur du silence, de permettre aux victimes de ne plus se sentir seules, et de trouver des débuts de réponse. La reconnaissance de la violence féminine est un passage obligé vers une plus grande responsabilité sociale. Ainsi, cette source d’un plus grand respect pourra faire reculer les souffrances que toute violence engendre. Il ne s’agit pas de diaboliser les femmes ou les mères, plus que les hommes ou les pères. En fait, ni les hommes ni les femmes n’ont le monopole de pouvoir basculer un jour dans la violence et la monstruosité. Il est nécessaire de parler de la violence subit par les femmes. Mais il est temps aujourd’hui, pour aider les enfants à se construire, de parler de ces formes de violences qui sont tues.  Les souffrances sont grandes d’autant plus qu’elles sont tues. Le silence est broyant et rajoute un poids supplémentaire à toute tentative de démarche de reconstruction.

Le tabou des violences faites par les femmes est  présent. On ne peut imaginer les femmes capables de faire du mal. Il y est opposé la moindre force physique, la fonction maternelle, la sacro-sainte image de la mère qui donne la vie, qui nourrit et soigne, cette image est incompatible avec la cogneuse, la meurtrière, ou la maltraitante. Cela se vérifie par les différences de traitement des infanticides, des maltraitances, des coups, des viols.
Le maternage peut être l’occasion de rapprochement lors des fantasmes de la mère, que ce soit par le thermomètre pour vérifier avec excès la température, les suppositoires. Ces abus, de mêler son enfant à sa sexualité, laissent des traces, et surtout, entraînent l’enfant dans la folie, il se met à douter de ses ressentis et préfère les enfermer, n’ayant pas d’appui. Adulte, il préférera penser qu’il a imaginé, ou qu’il est fou, plutôt que de revivre ses scènes et de remettre en cause un simili d’équilibre. Ainsi, accepter de remettre en cause ces actes, c’est ouvrir une porte à la reconstruction, modifier les fondements sur lesquels la mère a essayé d’enfermer l’enfant en profitant de cette proximité pour en faire son objet.

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Une mère incestueuse pourrait écoper d’une peine de cinq ans pour avoir agressé son fils.

Une femme de Québec risque de passer cinq ans en prison pour avoir masturbé son propre fils alors qu’il avait 17 ans et ensuite tenter d’avoir une relation sexuelle complète quelques années plus tard.

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« On est sidéré » : Emmanuel, 54 ans, raconte comment sa mère incestueuse a bouleversé sa vie

« Il y a une emprise de la mère. (…) On est sidéré, on se décompose. On se voit comme une poupée de chiffon qui se laisse faire. Et puis après, on culpabilise. Longtemps, je n’ai pas parlé car j’étais un homme. Ç’aurait été un signe de vulnérabilité, de faiblesse ».

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Pourquoi les meurtres d’enfants sont-ils majoritairement commis par des femmes?

CRIMINOLOGIE Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), publiée ce mercredi, 70 % des condamnations pour homicide sur mineur de moins de 15 ans sont des femmes…

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Est-il vrai qu’en France un homme meurt tous les treize jours sous les coups de sa conjointe ?

Cette statistique, citée par la députée LREM Claire O’Petit, est exacte. Mais elle n’est pas forcément un indicateur pertinent pour illustrer le phénomène des hommes battus ou maltraités.

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Santé mentale: les hommes plus à risque après une rupture amoureuse

Les hommes sont plus à risque de développer des problèmes de santé mentale après une rupture amoureuse, selon une récente étude. La recherche, menée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique, tend à montrer que la rupture amoureuse pourrait être un facteur de risque de suicide. Anxiété, dépression et suicide sont tous des troubles mentaux qui pourraient frapper un homme au terme d’une relation amoureuse. Pour John Oliffe, auteur principal de l’étude, il n’est pas surprenant que les ruptures aient de grands impacts chez les hommes. «Si nous pensons à la prévention du suicide et sachant que les suicides chez les hommes sont trois à quatre fois plus élevés que chez les femmes, il est évident que les ruptures amoureuses les mettent à risque», a-t-il précisé. Au total, ce sont 47 hommes canadiens et australiens qui ont participé à cette étude. Plus de 95% d’entre eux ont avoué avoir souffert d’anxiété, de dépression ou d’idées suicidaires pendant et après leur échec amoureux. L’étude a aussi prouvé que lorsqu’ils sont aux prises avec des conflits, les hommes ont tendance à minimiser les problèmes, provoquant une rupture plus douloureuse. On remarque aussi qu’il est fréquent, chez les hommes, de noyer leur chagrin à l’aide de substances comme l’alcool, une situation qui a empiré avec la pandémie de COVID-19 et l’isolation causée par les confinements. Selon un psychothérapeute établi à Ottawa, Sean Hale, ces résultats ne sont guère surprenants. «Les hommes avec qui je travaille, souvent, ils ne parlent pas de leurs émotions», a-t-il expliqué en entrevue avec Global News. «Lors d’une rupture, si [on] ressent ces émotions et [qu’on] ne peut les [exprimer], elles peuvent mener à ces sentiments de dépression», a expliqué M. Hale. Bien que certains aillent chercher de l’aide, il demeure essentiel que les hommes aient la possibilité de communiquer et de faire face à leurs sentiments dans l’intimité avec une personne de confiance, estime John Oliffe. Agence QMI Dimanche, 13 février 2022 https://www.journaldemontreal.com/2022/02/13/sante-mentale-les-hommes-plus-a-risque-apres-une-rupture-amoureuse-1?utm_source=Cyberimpact&utm_medium=email&utm_campaign=Revue-de-presse—15-fevrier-2022

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Mes parents avaient toujours désiré une fille, et je suis arrivée sur le tard, 17 ans après mon frère aîné. Ils avaient 40 ans. J’étais un bébé très souriant, dynamique. Puis j’ai grandi, seule enfant de la maison.

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Je n’ai jamais entendu ma mère appeler les membres de sa belle-famille (avec qui elle refusait toute relation très vite) que par d’aimables noms d’oiseaux: “l’autre pute”, “l’autre salope”, “l’autre alcoolique”. Même un petit bébé, mon cousin, a été affublé d’un “le petit bâtard” parce que ses parents se sont mariés la grossesse déjà enclenchée.

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J’ai donc vécu 64 ans sans me rendre compte de rien. C’est ma jeune compagne des Philippines qui m’a fait prendre conscience que j’étais en présence d’une mère qui ne me protégeait nullement.”Tu ne te rendras compte de rien” était le véritable titre en allemande d’un des ouvrages d’Alice Miller, un québécois régulièrement battu par un frère religieux, car trop intelligent, risquant de devenir orgueilleux, de m’en faire état par mail alors que j’étais aux Philippines, amorce donc pour moi du renouveau.

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Je suis victime d’inceste, et mon agresseur, c’est ma mère. Récit d’une lutte contre le silence, contre sa violence et ses ravages. Récit d’une lutte au nom de la vie.

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” Julie Gregory a su transcender l’horreur de son enfance pour nous livrer un témoignage, souvent touché par la grâce, qui laisse place à l’espoir. ” Entertainment WeeklyJulie est allongée sur la table d’examen d’un médecin. Elle n’a pas 12 ans, elle est maigre, elle est faible. À côté d’elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à cœur ouvert pour sa fille… Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant qui passe plus de temps à l’hôpital que sur les bancs de l’école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements suivis et des innombrables spécialistes consultés… Tout simplement, parce que Julie n’est pas malade… Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Son témoignage est le récit poignant de son enfance volée par une mère souffrant d’un besoin maladif d’attention. Petite fille perdue dans un monde d’adultes impressionnants Julie apprendra vite qu’ il vaut mieux faire ce qu’on lui dit. Sa mère atteinte du syndrome de Munchausen par procuration , la traîne de docteur en docteur elle a 12 ans est affamée en pleine croissance , grandit tant bien que mal plutôt mal que bien Julie qui est l’auteur de ce livre et elle est devenue psychiatre. Quoi d’étonnant ?? Une mère présente à sa façon, moments de haine, moments de joie, c’est une enfant privée d’enfance, d’école et d’amis. Elle finit par rester seule et essaie de survivre Tout n’est pas noir dans cette autobiographie, on sourit à défaut de rire et surtout arrive à comprendre ce qu a sa mère quelle n’arrive pas a haïr mais ne peut rien faire. http://Julie Gregory

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L’enfant subit quotidiennement un lavage de cerveau. Iel est incapable d’admettre la dangerosité de sa mère. Et pour cause, ces mères sont des manipulatrices insoupçonnées. Elles souffrent en réalité du syndrome de Münchhausen par procuration (SMP). C’est sans doute la forme de maltraitance la plus complexe connue à ce jour » Face à un comportement si pervers, comment peut-on se reconstruire ?

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