• Accueil
  • Qui sommes nous?
  • Les violences
    • Violences physiques
    • Violences psychiques
    • Violences sexuelles
    • Des pistes pour sortir de la violence
  • Actualités
    • Actualités, Presse
    • Livres
    • Témoignages
    • Vidéos
  • Partenaires
  • Contacts
  • Inscription à la newsletter

La face cachée de la violence…

tag : araignée, harcèlement, mensonge, violence
by : Dominique Mathey
comment : 1

Derrière la violence que chacun s’accorde à identifier et à condamner s’en cache une autre que l’on commence tout juste à reconnaître. Dans un ouvrage maintenant épuisé, paru chez Jouvence, Olivier Clerc présente les violences du Tigre et de l’Araignée, et la danse macabre dans laquelle elles alternent. Voilà ce qu’il en dit:

“Omniprésente violence. Famille, école, entreprise, politique, économie,… : aucun domaine d’activité humaine ne semble épargné par le phénomène. Après des années de lutte contre la violence sur tous les fronts, il est même permis de se demander si cette lutte est vraiment efficace, au regard du bilan des guerres et conflits du 20e siècle, pour ne rien dire de celui qui vient à peine de commencer.

Depuis peu, on identifie même de nouvelles formes de violence. Ainsi en va-t-il du harcèlement moral – qui fait désormais l’objet d’une loi -, du bizutage (lui aussi légiféré depuis 1998), ou encore de la manipulation. En réalité ces violences-là ne sont pas nouvelles : n’est récente que leur identification comme phénomènes violents, fussent-ils de nature différente. Y aurait-il donc plusieurs violences ?

En réalité, je me suis attaché à montrer dans cet ouvrage qu’on ne peut bien comprendre la violence qu’en  distinguant les deux polarités opposées et complémentaires qui la composent ainsi que la dynamique qui les caractérise. Seule cette distinction permet de comprendre à la fois la récurrence chronique de la violence et l’échec des moyens de lutte mis en œuvre jusqu’ici.

La violence, comme toute chose en ce monde, est double, polarisée : elle possède à la fois un pôle “masculin” ou yang – pour éviter de l’attribuer aux seuls hommes -, et un pôle “féminin” ou yin, qui n’est pas davantage réservé aux femmes. La violence yang, que j’appelle violence du Tigre, a long été la seule identifiée et, aujourd’hui encore, représente plus de 90% de ce que nous identifions comme “violence”. Ses manifestations vont de l’insulte à la bombe atomique, en passant par les coups (de poing, pied, couteau, fusil, canon), les explosifs, etc. Elle s’apparente souvent à la décharge brutale d’une énergie contenue. Elle est active, chaude, tranchante, pénétrante, percussive, brutale, rapide, dilatante, centrifuge, impulsive. Evidente et manifeste, en tous les cas.
L’autre polarité de la violence, la violence yin, que je nomme violence de l’Araignée, est de toute autre nature. Le Tigre est chaud, rapide, démonstratif, puissant ; l’Araignée est froide, dévore sa proie à petit feu, lentement, elle est calculatrice, rusée. La violence de l’Araignée s’exerce dans la durée, progressivement. Elle souvent cachée, indirecte, insidieuse, trompeuse. Un élément de duplicité, de tricherie ou de séduction la caractérise fréquemment. Elle est contraignante, inhibante, collante, paralysante, implosive, centripète, statique, à effet lent et cumulatif, réfléchie (ou inconsciente). Seules quelques unes de ses manifestations sont désormais reconnues, nous l’avons dit plus haut : le harcèlement moral, la manipulation, le chantage, le bizutage, le piratage informatique. Mais en réalité, ses formes sont autrement plus nombreuses et plus répandues, du fait justement qu’elles ne sont pas reconnues pour ce qu’elles sont : violentes, mais dans la polarité opposée à celle très familière du Tigre.

​Sa forme la plus anodine ? Le mensonge. Viennent ensuite la rumeur, la calomnie, la médisance qui tissent de personne en personne, chacun y ajoutant un peu de son affect, une toile dont la victime ne parvient souvent pas à se défaire, dans l’impossibilité de lutter contre un ennemi clairement identifié. Ces pratiques d’apparence inoffensive, parce que c’est la répétition et l’addition des propos de chacun qui confèrent à ces phénomènes leur capacité destructrice, ont mis par terre des réputations, anéantit des personnes et des entreprises, ruiné des projets. L’Araignée, c’est aussi le poison, les armes bactériologiques et chimiques, les pollutions lentes et cachées, les rayonnements radioactifs, les odeurs nauséabondes, certaines formes de grève, certaines pratiques boursières et financières, ou encore l’usage de neuroleptiques en psychiatrie. C’est, de façon plus générale, tout ce qui étouffe, emprisonne, vampirise, prive de liberté. Y compris sous les formes les plus “dorées”, comme on dit de certaines prisons. L’affection étouffante d’une mère qui surprotège ses enfants, par exemple, est arachnéenne. De même, la loi le devient elle aussi quand le maillage législatif se resserre tellement, au nom de la protection de l’individu, qu’il réduit l’espace de liberté de chacun comme peau de chagrin. Les idéologies, qu’elles soient religieuses ou politiques, peuvent également s’avérer arachnéennes, sans que telles soient nécessairement leur intention : l’individu peut en effet étouffer sous l’emprise de règles morales trop rigides ou sous le poids de la culpabilité, il peut être littéralement paralysé, pris au piège d’un filet d’injonctions et de règles qui ne lui laissent plus aucune liberté. Le succès actuel d’ouvrages appelant les lecteurs à ne plus être “gentils” mais vrais, authentiques, sincères, à exprimer leurs émotions plutôt qu’à les étouffer sous un masque de fausse amabilité, témoigne précisément d’un désir croissant de se libérer d’une forme de totalitarisme de la paix , mis en place avec les meilleurs intentions du monde.

Que constate-t-on, en effet ? Sous prétexte de lutter contre la violence du Tigre, celle que chacun s’accorde à identifier et à condamner, politiques et religions y sont allées les unes comme les autres de lois, règles et commandements visant à étouffer ou à contenir cette violence, à l’empêcher d’apparaître ou de se manifester. L’intention était certes louable, mais l’ignorance de l’autre polarité de la violence, et donc son absence de prise en compte, ont eu pour conséquence que les moyens mis en œuvre jusqu’ici pour lutter contre cette violence sont en réalité eux-mêmes violents, mais dans l’autre polarité de la violence, cette fois. Autrement dit, on a utilisé l’Araignée pour piéger le Tigre, pour l’immobiliser, le paralyser, l’étouffer, de même que les chasseurs de ce fauve utilisent parfois un filet accroché à une branche et dissimulé sous des feuilles, avec un appât bien en vue, pour capturer la bête.

Que se passe-t-il ensuite ? Comme la poudre comprimée dans la douille, comme l’eau qui s’accumule derrière un barrage ou la charge électromagnétique dans un nuage, ces dispositifs – tout en donnant l’impression de fonctionner à court terme – vont en réalité favoriser la création d’une nouvelle tension, d’une nouvelle charge, et donc à long terme une nouvelle décharge, c’est-à-dire un passage à l’acte souvent plus violent que le précédent. L’histoire alterne ainsi depuis de siècles entre violence ouverte, manifeste (le Tigre) et violence cachée, indirecte (l’Araignée), entre violence explosive et violence contraignante, entre décharge brutale qui dévaste tout sur son passage et étouffement à petit feu, paralysie, immobilisme mortifère. La violence suit ainsi un cycle infernal, pareille à la course du soleil, dont une seule moitié nous est clairement visible, mais dont le retour est inéluctable.

L’une des choses que l’approche bipolaire de la violence enseigne, précisément, est la dynamique qui caractérise les deux pôles de la violence. L’un de ses aspects les plus importants est la façon dont la violence de l’Araignée, par la tension qu’elle crée, favorise l’émergence d’un Tigre et, conjointement, la façon dont les débordements de certains Tigres susciteront la mise en place d’un maillage plus subtil, plus séducteur, pour tenter de les piéger et de les contenir. La classification des actes de violence en yin ou yang n’aurait aucun intérêt pratique si elle ne permettait justement de comprendre, derrière ses manifestations superficielles, les causes profondes et durables de la violence. Cette compréhension ouvre ensuite la porte à de nouvelles stratégies face aux diverses violences. Soulignant d’abord le caractère vain de la “lutte contre la violence”, qui ne fait qu’alterner phase visible et phase cachée, dans un crescendo dévastateur, elle propose plutôt de transformer la violence, chaque fois que c’est possible.

Sans entrer ici dans le détail, la violence du Tigre étant la décharge brutale d’une tension excessive, diverses approches, comme la CNV , visent à permettre une lente mise à terre de cet excès d’énergie, potentiellement destructeur. Ces approches donnent d’ailleurs des résultats remarquables, mis à l’épreuve dans les situations les plus difficiles qui soient. Mais, de même qu’un gilet pare-balles protège d’un coup de revolver mais pas d’émanations radioactives, la violence de l’Araignée nécessite pour sa part une tout autre approche. Moins identifiée et moins bien connue que la violence du Tigre, cette polarité yin de la violence n’a pas encore vu naître autant d’outils pour y faire face. On peut cependant mettre en évidence quelques grands principes. Violence de l’obscurité, du froid, de l’immobilisme, on peut justement lui opposer la lumière, la chaleur, le mouvement.

Mettre en lumière les agissements d’un personnage arachnéen, en les révélant au grand jour, permet d’éviter que s’ourdissent de sinistres plans dans l’ombre. La lumière des médias, aussi, a pu mettre à jour des violences arachnéennes, comme la pédophilie, par exemple, dont les réseaux œuvraient dans l’ombre. La lumière, c’est encore la connaissance, le savoir qui permet de ne pas se faire manipuler, arnaquer, tromper, leurrer. Ensuite, la chaleur, symboliquement, c’est le cœur, les liens, les relations humaines. Dans le harcèlement moral, le pervers est souvent décrit comme ayant une attitude glaciale, sans cœur. Ne pas se laisser isoler, ne pas se refroidir dans son coin, et – pour contrer l’immobilisme qui tente de s’imposer – bouger, voir des gens, au besoin fuir : ce sont là des caractéristiques que l’on retrouve dans les stratégies proposées par les professionnels qui s’occupent de ces formes reconnues de violences de l’Araignée.

La compréhension de la nature bipolaire de la violence nous oblige donc à reconsidérer complètement notre idée de la violence (des violences, plus exactement) et les moyens qui nous semblent opportuns de mettre en place, à quelque échelle que ce soit. Elle nous contraint notamment à reconnaître que la “lutte contre la violence”, si elle est parfois indispensable pour faire face à l’urgence, ne permettra jamais de venir à bout de la violence et d’instaurer une paix durable : la paix qu’elle procure n’est que cette paix mortifère que célébraient par exemple les pays de l’Est autrefois, dans lesquels la machine bureaucratique et étatique arachnéenne empêchait provisoirement tout débordement du Tigre, mais aussi toute créativité, toute vie.

La paix ne se conquiert – durablement, s’entend – ni par la force ni par la contrainte. Elle ne peut qu’être le fruit de l’éducation, et notamment d’une éducation à la relation, c’est-à-dire à l’intelligence du cœur, à l’humain. Tant le Tigre que l’Araignée se caractérisent par la négation de l’autre, l’incapacité à l’entendre, à le comprendre, l’absence de dialogue, d’échange véritable. Une charge ne peut se créer qu’entre deux pôles séparés : une tension ne peut apparaître qu’entre personnes ou organismes qui ne communiquent pas, au sens profond du terme. Or le plus grand et plus constant facteur de séparation entre les hommes est la peur, qui va de pair avec l’ignorance et la méconnaissance. A long terme, donc, seule l’éducation – une éducation, redisons-le, aux relations humaines, à l’autre, à la gestion des conflits, au vivre ensemble – peut nous permettre de prendre le chemin de la non-violence et de la paix. Cela prendra du temps, c’est évident. L’évolution, en la matière, sera déterminée par le temps que nous mettrons à devenir conscients de la nature et de la dynamique de la violence à deux pôles, et à inventer de nouvelles façons d’utiliser et de transformer les énergies conflictuelles en force de création, d’innovation et de changement, plutôt qu’en facteurs destructeurs ou paralysants.”

​

Olivier Clerc   http://www.olivierclerc.com/welcome/index.php?accueil=1

​http://claire-liselaugt.wixsite.com/moncorpsmedit/la-face-cachee-de-la-violance

Social Share

  • google-share
One Comment
  1. millot 24 décembre 2018 at 11 h 18 min Reply

    Tout simplement lucide et magnifique de compréhension.

Leave a Reply Annuler la réponse

*
*

captcha *

Violences physiques

Sur les enfants

Infanticides

Sur le mari ou le les compagnons

Sur la compagne

Sur les animaux

Violences sexuelles

Viol

Attouchement

Inceste mère fils, mère fille

Non respect de l’intimité

Enfant offert à l'amant

Enfant offert aux grands-parents

Violences psychiques

La filiation.

  • Droit à la filiation pour l’enfant
  • Droit à la filiation pour le père
  • Père pris comme reproducteur
  • Père prive de ses enfants
  • Père dévalorisé
  • Père exclu par le divorce
  • Père qui ne sert qu’à payer la pension alimentaire

Violences psychiques sur l’enfant

Violences psychiques sur le père.

Accouchement sous X

Des pistes pour sortir de la violence

Mots clés

A. Faber et E. Mazlish abandon abus abuseurs abus sexuels abusées accueil accusateur accusation actes activités addictions admiration adoption affabulatrice agir agresseur agresseurs agresseuse agression agressions agressions homosexuelles aide aimer Alice Miller allaitement alliance alliance féconde Allo parent bébé allégations altercation amante amants ambigu ambitions ambivalence amis amnésie amour amour interdit amour maternel an angoisse anorexie anxiété apprendre apprendre à dire non apprentissage appréciation araignée arnaqueuses attachement attouchement attouchements audience autorité autorité parentale autrui avenir aveuglement bafoué banalisation bataille battre belles-familles berceau besoin besoins bien-être bienséance blessure blessures bonheur bonheur conjugual bouche bouc émissaire boulot-dodo bourreau budget bénéfice bénéfices bénéfices secondaires calvaires caprice carcans caresses cellules cercle de paroles cerveau chagrin chaleur humaine chantage affectif chaos chnagement choix chômage claques clivages CNV co-parentalité colère communication communiquer complice complices comportement comportements maltraitants comprendre compréhension conciliation condamnation conditionnement confiance conflits confusion congrès conjoint connection connivence consentement consntement conséquences conséquences sur les victimes contes contexte contrôle conujugual corps corresponsabilité coup coup de foudre couple couples couples lesbiens coups crime criminalité criminalité féminine criminelle crises croyances créativité culpabilisation culpabilité culture Damoclès danger descendants destructeur destruction deuil devoir conjugual devoir parental dialogue diffamations difficultés diffécultés différences différenciation dignité dilemne dispute disputes dissociation distance divorce Doloto Dolto dominant domination dommages-interets douleur douleurs doutes dragon dramatisation droits baffoués dysfonctionnement dysfonctionnements dé"mons déchirure découvertes défaillance définition défis dégâts délinquantes délirant délire déni dénigrement dénonciation dépendance dépendance affective dépendance émotionnelle déposition dépression désaccords désamour désarroi désordres psychologiques détention détriment dévalorisation dévalotirsation développement personnel Egalité Ejaculation Elisabeth Badinter EMDR empathie emprise emprisonnement emrpise enfance enfance volée enfant enfant en or enfants enfants maltraités enfant victime enfer enjeux ennemi ennemis enquête entrave entretenir envahiossante envers errance erreurs espoir estime estime de soi excessivité exclusion excuses exhibition exhibitionnisme existence exploitation faiblesse familicide famille famille pathologique feminine femme femme; cheminement femme incestueuse femme incestueuses femmes femmes incestueuses femmes violentes fessée fibromyalgie fiction fidélité fille fils fleau foi folie fonction force formation frapper fuite furies fusion fusionnelles féminicide féminin libre féminité garde à vue gestion grand-mère grand-père grandir gratifications guerre guerre des sexes guérir guérison haine harcèlement harmonie heureux homicide homicides homme homme battu homme maltraité hommes hommes battus hommes coupables honte hormone horreur huit clos humanité humiliation humiliations hyper agressivité hypercommunication hypersexualité hypothèses héritage identité identités illusion illusions illussions impact impasse sociale incarcération incarcérations inceste inceste maternel incestueuse indicible indifférence indépendance infamie infanticide infidélité influence maternelle infraction iniquités injuste injustice innocence innommable inquiétudes insconscient instabilité instinct instinct matermel instinct maternel intelligant intelligence interdit interractions intimité intrusion intégrité investissement inégalités ITT jalousie jeu jeu d'actrice jeux joie joie de vivre jumeau juridiction juridictions pénales justice justifications l'amour lenteur lettre liberté lien limites loi loi viol loyauté lumière lutte lutter lâcher prise madone malades maladie maladie mentale maladies maladroit malheureux malmenés maltraitance manie du thermomère rectal manipulation manipulatrice manque de libido mapulateur mariage Marshall Rosenberg masculin masculinité masturbation maternage maternité mauvais traitements menace mensonge mensonges mental meurtre meurtrières minimisation miroir aux alouettes misandrie misogynie monstre monstrueux mortifères mouton noire Munchausen mythe mère mère-fille mère absente mère abusive mère défaillante mère envieuse mère incestueuse mère intruisive mère narcissique mère rivale mères et filles mères incestueuses mères toxiques mère toute puissante mère toxique mère violente mécanisme médias médiation mémoire ménage mésententes Mûnchhausen naissance nombrilisme non-dénonciation non-parole non reconnues nourriture nudité nurses nursing nursing pathologique négligence névrose objets sexuels obligation de soins odeur odorat olfaction ombre omerta otages outils ouverture paix paradoxe paranoïa pardon parent parentalité parentalité positive parents parler paroles par procuration partenaire passion passivité pathologie pathologies patriarcat pauvreté peine pensée pensées perplexité personnalité perverse peur phases critiques pistes place placement plainte plaintes plaisir plaisir maternel pouvoir pouvoirdéfi prescription pression preuve prison privilège procréation procès projections protecteur protection protocoles protéger l'enfant prédateur prédatrices préjugés prévenir prévention psychologue pudeur puissance père pédagogie pédagogie noire pédocriminalité pédophile pédophilie pédophilie au féminin pédophilies pénitiencier; pénétration digitale quotidien quête racine raison rapport de force ravages reconnaissance refuge regard rejet relation relations relations incestuelles relations toxiques religion remarques remise en cause systématique de la parole de l'enfant renaître - mères - repli reproches respect respect mutuel responsabilité responsabilités responsable ressenti ressources restrictions alimentaires retard retard de langages retrouvailles rivalités roman familial romantisme rupture règles réalités réclusion criminelle réflexion réfugié réparation répercussions répétition résignation résilience révélation rôle rôles s'affirmer sanctions santé schéma scénario répétitif secrets secualité sens sensationnalisme sensibilité sentiment sentiments sexe sexisme sexualité sidérarion sidération silence simulation société soins sollicitude solution sorcière souffrance souffrances souhait souvenir souvenirs stress strétgie subir suicide surefficience survie survivants suspicions symptôme post traumatique symptômes syndrome de Muchausen syndrome du stress sécurité séduction sénérénité séparation séparations séquestration sévices tabou tactile taire temple terrifiant terrorisme conjugual thérapie thérapie conuguale toilette tortionnaire touher toxique trahison traitements transformer transgression transgénérationnel transgénérationnelle transitions traumatisme traumatismes travail tristesse trnaquillité trouble troubles tueuse tâches télévision témoignage témoignages union unuon valorisation vengeresse vertige victime victimes victimes indirectes victimite vie viol violence violence conjugale violence conjuguale violence des femmes violence dosmestique violence féminine violence psuchologique violence psychologique violences violences conjuguales violences conuguales violences domestiques violences sexuelles violence éducative ordinaire viols conjugaux virilité virilté virulente Vittoz vivre voisin voix vol vulnérabilité yang yin Yvon dallaire zone d'ombre zèle âix âme école écoute éducaion éducation éducation bienveillante éducation nationale éducation positive église émotions épidémie épreuve équilibre équité éthique évitement évolution

Dernières actualités

Le violentomètre

02 novembre 2024

la grand-mère reconnue coupable d'inceste sur sa petite-fille

16 octobre 2024

Mort d'Énéa : la vengeance d'une mère ?

28 juin 2024

Procès d’une mère violente en Indre-et-Loire : « Elle a déjà essayé de me tuer trois fois »

12 novembre 2023

L'homme doit être fort?

30 septembre 2023

Dernier témoignage

Ne voyez-vous pas que votre enfant est un génie ?

06 janvier 2025

Derniers livres

Une mère aimante

14 juin 2025

Récit Thérapeutique d'un Attachement Traumatique

02 novembre 2024

Libres enfants de Summerhill

24 septembre 2024
Mentions légales et Politique de confidentialite | Violencesfeminines.com©2015
Réalisation site internet : www.lisiere-du-web.fr