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“Je suis jalouse de ma fille” – Alix Leduc

tag : dispute, injuste, jalousie, tabou
by : Dominique Mathey
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Quoi de plus menaçant – parfois – que voir s’épanouir sous son toit cette autre « moi »… plus jeune, plus belle, plus heureuse ? Trois mères-jalouses se sont confiées.

Il n’y a pas de règle concernant les duos mère-fille existent

Fusionnelles, complices, partageant leur garde-robe… Les duos mère-fille sont devenus la cible des campagnes publicitaires qui les représentent en clones modernes, version idéalisée. Même chez les personnalités, il est aujourd’hui de bon ton d’afficher avec fierté la fusion avec son « minimoi », se prêtant à un jeu des ressemblances de plus en plus prisé. Jamais la relation mère-fille n’a été aussi encensée, glorifiée. Comme si l’ultime réussite, de nos jours, c’était d’être la mère d’une fille. En toute sérénité.

Je vais passer pour un monstre

Pourtant… Même si ces duos existent, ils ne sont pas la règle. Et tout à l’autre bout du lien, à l’autre extrême, existent aussi des duos impossibles, des rivalités empoisonnées, des haines sourdes d’autant plus mortifères qu’elles ne peuvent se dire. Ni même se penser. Après bien des refus (« Le sujet est trop intime », « Je vais passer pour un monstre », « Je suis une mauvaise mère »…), trois femmes torturées par ce sentiment qui leur fait honte ont accepté de se livrer, anonymement. Oui, elles sont jalouses de leur fille, et considèrent la chair de leur chair comme une rivale. Qu’elles aiment pourtant plus que tout. Pour nous, elles ont accepté d’avouer l’inavouable. De le partager, peut-être pour s’en alléger un peu.

Jalouse de ma fille : « elle réussit là où j’ai échoué »

Pauline, 44 ans, décoratrice d’intérieur

“Je répète souvent : ‘Ma fille c’est moi en mieux’ . Pour les autres, cette phrase sonne comme l’affirmation d’une réussite. Mais en fait, j’espère sans y croire que quelqu’un viendra me contredire. Ce qui n’arrive jamais : les compliments pleuvent ­ car, oui, ma fille est si belle, si fine, douée pour le bonheur… En fait, elle me fait de l’ombre, elle prend trop de place dans ma vie. Ce sentiment tabou me ronge, me pollue et m’abîme. Et ne fait que s’aggraver, maintenant qu’elle a 13 ans et séduit la terre entière. Elle a toute la vie devant elle. J’ai déjà grillé mes cartouches, le meilleur est derrière moi. Je lui en veux de m’obliger à penser comme ça. Quand j’observe son corps si beau, si ferme, je me revois à son âge. On a la même morphologie. Sauf que les petites tenues qu’elle porte, je ne peux plus me les permettre. Je la déteste de me voler ma jeunesse et de squatter ma penderie.

 Pourtant, j’avais toujours rêvé d’avoir une fille

Pourtant je l’aime. J’avais toujours rêvé d’avoir une fille ! Les premières années de son existence, j’ai joué à la poupée, je me suis régalée. Nous étions fusionnelles, notre duo était plus fort que tout. Puis elle a commencé à se rapprocher de son père. Et moi, par réaction, à m’éloigner d’eux, à m’extraire de ce nouveau duo. A 6 ans, elle faisait déjà tellement « femme » ! Elle manipulait son père, et lui fondait. Tout le monde applaudissait, ma belle-mère adorait répéter que son fils était gâteux de sa « princesse ». Et je voyais bien qu’il craquait de plus en plus, ses gestes tendres et son admiration étaient désormais réservés à notre fille.

Je pense que tout aurait été bien plus simple si j’avais eu un fils

Ma jalousie est devenue un sujet récurrent de dispute. Sans jamais être nommée, formulée, mais c’était tout le temps là entre nous. Je lui faisais peur. En étant constamment dans l’envie je ne faisais plus envie. Je pense qu’il m’a quittée pour ça, parce qu’il me savait mauvaise à l’égard de notre enfant. Ma fille est devenue ma rivale, elle réussit là où j’ai échoué. Parfois je parviens à être contente pour elle, comme pour une amie. Mais très vite je le ressens comme une injustice : « Pourquoi elle et pas moi ? » Aujourd’hui elle se méfie de moi, se protège. Nos rapports sont froids, distants. Elle ne me confie rien. Je ne suis pas bienveillante. Je la rabaisse souvent. Je me déteste d’être comme ça, mais c’est plus fort que moi. Je lui interdis de suivre des régimes, en prétextant que c’est mauvais pour sa santé. En fait, c’est terrible mais j’ai peur qu’elle ne devienne trop belle, trop attirante. Je suis très dure avec elle, je ne lui cède rien. Je culpabilise, j’aimerais être comme les autres mères, mais j’ai l’impression qu’elle me retire plus de choses qu’elle ne m’en apporte. Je pense que tout aurait été bien plus simple si j’avais eu un fils.

Jalouse de ma fille : «Je trouvais injuste que mon double soit mieux que moi»

Sophie, 63 ans, correctrice 

“Ma fille est un « accident ». C’est mon mari qui a insisté pour qu’on garde ce bébé. Avec le recul, j’ai compris que j’avais subi cette grossesse. D’ailleurs, j’avais pris 24 kg ­ je m’étais réfugiée dans la nourriture, comme si j’avais démissionné, voulu mettre un terme à ma féminité. L’accouchement a été laborieux, difficile, à l’inverse des deux premiers.

J’en voulais à cette enfant de m’avoir enlaidie

Quand Léa est née, je me souviendrai toujours de la voix de la sage-femme : « C’est un chef-d’œuvre de beauté ! » Je me suis demandée si elle disait ça à chaque naissance… J’ai surtout trouvé pénible qu’on s’ébahisse devant ma fille alors que je n’intéressais déjà plus personne. Et puis j’en voulais à cette enfant de m’avoir enlaidie, déformée. Mon mari s’est beaucoup occupé de Léa, comme pour se faire pardonner d’avoir tant voulu la garder. J’ai laissé faire, mais ça me pesait. Je trouvais ça injuste pour les aînés… et pour moi aussi, finalement.

Leur complicité me dérangeait. Du coup, j’ai très tôt été dure avec Léa, je ne me suis pas sentie « mère » avec elle. Je la regardais comme une rivale. J’étais bien plus tendre avec mon aînée, qui est douce et discrète. Léa, elle, dès qu’elle entrait dans une pièce, il fallait qu’on l’entende, qu’on la remarque. Elle rayonnait, elle ne laissait personne indifférent. Moi je lui reprochais d’être trop bruyante, trop brusque, alors que j’admirais en secret son naturel, sa spontanéité.

J’avoue que je respire mieux lorsqu’elle est loin de moi

Pendant l’adolescence, notre relation s’est transformée en duel. Je l’empêchais de s’épanouir et elle m’en voulait. Je lui mettais des interdits que je n’avais jamais imposés à sa sœur ou à son frère. Par exemple, je refusais qu’elle porte du vernis ou des jupes courtes, sous prétexte que c’était vulgaire. En fait, j’étais jalouse de ses jambes, fines, qu’elle a héritées du côté paternel. Moi j’ai toujours été complexée par mes mollets, trop gros. Je trouvais injuste que mon double soit mieux que moi. Entre nous il y a un effet miroir : elle me renvoie mes faiblesses, ma vulnérabilité.

Désormais la femme c’est elle, moi je suis passée de l’autre côté. Elle a maintenant 23 ans et suit ses études à Paris. Nos rapports sont très distants. Je lui souhaite d’être heureuse, mais j’avoue que je respire mieux lorsqu’elle est loin de moi.”

Jalouse de ma fille : « Plus elle s’épanouit, plus je m’étiole »

Anne, 36 ans, assistante

“Quand ma fille était petite, je lui faisais des tresses. Pour qu’elle soit moins jolie. J’ai des moments fugaces de fierté maternelle, mais ils sont rares. Je crains toujours qu’elle me dépasse, qu’on m’enterre. Je l’ai eue jeune, trop jeune. Je n’étais pas prête à être maman. Son père m’a quittée au quatrième mois de grossesse.

Ma fille porte mon nom, et ça me pèse. On nous compare tout le temps. Surtout ma mère ­ – avec qui j’ai toujours entretenu une relation compliquée -, qui la chouchoute et la survalorise. Peut-être par réaction à ma dureté. On est dans un cercle vicieux.

 Je ne lui adresse jamais de compliments

En élevant ma fille seule, j’ai fait une croix sur ma jeunesse. Et maintenant qu’elle est ado, une lolita sur qui les hommes se retournent dans la rue, j’ai l’impression d’être déjà passée, à 36 ans, de l’autre côté. Plus elle s’épanouit, plus je m’étiole. Du coup, je lui fais la guerre pour tout. Notamment pour les sorties. Je ne lui adresse jamais de compliments. Elle s’est acheté une robe, l’autre jour. Alors qu’elle était ravissante, je lui ai dit que cette longueur, à mi-mollets, n’était vraiment pas flatteuse.

On se dispute tout le temps, elle m’en veut et je la comprends

Je me déteste dans ce rôle, je culpabilise et je lui en veux de m’obliger à tenir ce personnage. J’ai l’impression qu’elle vit ma vie à ma place, qu’elle me la vole. Et je n’arrive pas à me projeter en elle. Ses bonheurs ne font pas les miens ; au contraire, ils me mettent en danger d’invisibilité. Il y a quelques mois, elle a reçu une lettre d’amour de son meilleur ami. Je répétais avec aigreur : « On ne m’a jamais écrit une lettre comme ça. » Je lui prédis souvent qu’elle se fera avoir par les garçons. Une manière de la mettre en garde mais aussi de me consoler. Et lorsqu’elle a une peine de cœur, je lui glisse que ce n’est que le début…

On se dispute tout le temps, elle m’en veut et je la comprends. Elle m’a suppliée de la placer en pension. C’est peut-être la solution. Couper me libérerait de ce lien mortifère. Mais je n’ai qu’elle, ma petite fille, mon bébé.

Jalouse de ma fille : “ce n’est pas que la faute de la mère”

  • Marie Claire : La rivalité est-elle inhérente à la relation mère-fille ?

Virginie Megglé* : Non, mais elle peut être plus ou moins en germe chez chaque mère. En fait, l’expression irraisonnée de cette rivalité dépend de l’histoire de chacune. C’est sans doute plus délicat pour une femme qui était déjà en concurrence avec sa mère ou qui a du mal à grandir.

  • Qu’est-ce qui se joue derrière cette rivalité ?

La mère en veut à sa fille de lui faire prendre conscience, par sa seule présence, qu’elle n’est pas éternelle. Son développement la renvoie à un irrévocable processus de vieillissement. Surtout si elle vit dans l’insécurité. Ces mères ont peur de disparaître. Au lieu d’être dans la différenciation, elles se comparent, se projettent. Certaines perçoivent leur fille comme une excroissance d’elles-mêmes. Ayant souvent souffert dans leur propre enfance, elles sont restées dans une relation fusionnelle idéalisée.

  • Et le père, dans tout ça ?

Le passage de flambeau mère-fille se fait quand il y a un père qui tient son rôle. Souvent, lorsque la jalousie dégénère, c’est que lui laisse faire et en tire une jouissance. Attention à ne pas laisser porter toute la faute à la mère ! Elle n’est pas la seule responsable de cette jalousie. C’est une configuration de couple. Dans le jeu de chaises musicales instauré par les parents, l’enfant prend la place qu’on lui laisse.

  • Quels sont les dommages pour la fille ?

Elle est « handicapée » de façon invisible. Là où elle est censée recevoir de l’amour, elle se sent atteinte dans son intégrité. Dans certains cas, elle aura tendance à vouloir « réparer » sa mère. A la « gâter », à inverser les rôles. Au détriment de sa propre croissance. Dans d’autres cas, elle perçoit sa mère comme une ennemie ou une inférieure, surtout si elle y est encouragée par son père. Le risque, c’est qu’elle reproduise plus tard ce schéma. Ou qu’elle refuse d’enfanter (non-désir, stérilité…), de peur d’avoir une fille.

  • Pourquoi est-ce si difficile d’en parler ?

Parce que cela porte atteinte au mythe de la mère Courage, de la mère parfaite. Celle qui donne la vie… Surtout à une époque où le lien mère-fille est à la mode sur fond de confusion intergénérationnelle.

  • Comment faire pour sortir de ce cercle vicieux ?

En parler, justement. Car à force de cacher ces « mauvais » sentiments, on les renforce. Il faut dire, être entendue, pour pouvoir banaliser. Sinon on se prend pour une criminelle ! Alors que les mauvais sentiments, tout le monde en a… Les témoignages que vous avez recueillis sont très touchants, car ces femmes avouent leur insécurité, leur faiblesse (leur fille représente à leurs yeux un danger). Il faudrait les féliciter d’avoir parlé, ne surtout pas les juger mais, au contraire, les déculpabiliser.

Non, elles ne sont pas des monstres ! Il y a beaucoup plus de mères jalouses de leurs filles qu’on le croit, et qu’on ose le dire. Prendre conscience de sa jalousie et l’accepter constitue le premier pas pour l’atténuer. Ensuite, pour aller mieux, ces mères en rivalité auraient tout intérêt à entreprendre un travail thérapeutique. Guérir de ses blessures d’enfance permet un épanouissement et une ouverture du cœur, même tardifs. En reconnaissant à son enfant le droit à l’autonomie, on gagne soi-même en liberté… Et on peut y gagner une fille.

(*) Auteure de « Le bonheur d’être responsable, Vivre sans culpabiliser », éd. Odile Jacob.

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