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Inceste, viol : comment fonctionne la mémoire traumatique ?

by : Dominique Mathey
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Sidération, indifférence apparente, difficultés d’apprentissage, conduites à risque et addictives, violences à nouveau subies ou agies… Le Dr Muriel Salmona explique les conséquences psychotraumatiques des violences sexuelles sur les enfants et les mécanismes de réparation possibles, même des années plus tard.

Muriel Salmona est psychiatre, psychothérapeute et présidente de l’association Mémoire traumatique et victimologie.

 

Sidération et dissociation : des mécanismes de survie

Quels sont les mécanismes traumatiques à l’œuvre lorsqu’un enfant est victime d’une violence sexuelle ?
Muriel Salmona :
Le premier est la sidération. Confronté à des violences terrorisantes et incompréhensibles, l’enfant se retrouve paralysé psychiquement et physiquement. Cet état est déclenché par l’amygdale cérébrale. C’est une alarme interne qui engendre la production d’hormones de stress (adrénaline et cortisol), le but étant de fournir à l’organisme le “carburant” (oxygène et glucose) pour fuir ou combattre. Le problème, c’est que cette alarme ne se calme pas toute seule : seul le cortex peut la moduler ou l’éteindre. Les adultes peuvent y parvenir en analysant la situation, en cherchant à la comprendre, en prenant des décisions. Pas les enfants, dont le cortex est totalement immature. L’alarme continue donc à “hurler”.

Ce mécanisme de survie devient-il dangereux pour l’organisme ?
L’organisme se retrouve en effet en état de stress extrême, avec des taux toxiques d’hormones, qui représentent un risque vital cardio-vasculaire et neurologique. Pour y échapper, comme dans un circuit électrique en survoltage, le cerveau fait disjoncter le circuit émotionnel à l’aide de neurotransmetteurs qui sont des “drogues dures” anesthésiantes et dissociantes (“morphine-like” et “kétamine-like”, endorphines et antagonistes des récepteurs de la NDMA). D’où un état d’anesthésie émotionnelle et physique, une sensation d’irréalité, d’étrangeté, d’absence qui donnent à l’enfant l’impression d’être spectateur des événements, de regarder un film. Le cortex est déconnecté. La réponse émotionnelle est éteinte. Cela s’appelle la dissociation.

Malheureusement, la dissociation permet à l’agresseur d’être tranquille…
En effet, car les victimes n’émettent pas de signaux de détresse. Elles sont figées. Ce qui leur est d’ailleurs reproché par la suite : « Pourquoi n’as-tu pas crié, fui, combattu, etc. ? » La dissociation devient un piège : les actes violents peuvent être de plus en plus extrêmes, sans que les victimes puissent réagir. Comme elles sont anesthésiées, leur seuil de résistance à la douleur est augmenté. C’est flagrant lors des viols en réunion d’adolescentes, qui sont sans réaction ou s’exécutent comme des robots. De plus, comme la dissociation transforme la victime en automate, l’agresseur fait ce qu’il veut et peut facilement lui imposer de participer aux violences et de répéter des phrases de pseudo-consentement (« Dis-moi que tu aimes ça, que c’est ce que tu veux ! »). Il pourra ensuite arguer que l’enfant était d’accord ! Rappelons que seule une jurisprudence permet de ne pas prendre en compte la notion de consentement pour les enfants de moins de 5 ans. À 6 ans, on n’a pas le droit d’aller chez le médecin tout seul, mais on peut se faire sodomiser par son cousin et être considéré comme complice ! C’est du délire !

Combien de temps dure la dissociation traumatique ?
Des heures, des jours, des mois, voire des années si l’enfant continue à subir des violences ou s’il reste en contact avec l’agresseur et ses complices. Anesthésié émotionnellement, il semblera indifférent, déconnecté en permanence. C’est pourquoi de nombreuses victimes ne portent pas plainte, ou trop tard par rapport au délai de prescription. Cela explique aussi l’accueil souvent inadapté des proches et des professionnels. Face à une victime dissociée, ils ne peuvent percevoir ses émotions par le biais de leurs “neurones miroir”. La seule manière d’identifier sa souffrance est intellectuelle, à contre-courant de leurs ressentis qui indiqueraient plutôt du vide, du rien, du flou. Ils réagissent donc souvent par une absence d’empathie, une incrédulité, une minimisation, voire une totale remise en question des violences subies.

Encore une fois, l’enfant est victime de son mécanisme de survie…
Il va en effet être considéré comme débile, inconséquent, incapable de comprendre ce qui se passe et d’y réagir. Il sera en butte à des moqueries, des humiliations, des maltraitances. C’est, dans le film Polisse, la scène avec la jeune ado qui a été obligée de faire des fellations à plusieurs garçons pour récupérer son portable. Elle semble si indifférente à la situation que les policiers se moquent d’elle : « Et si on t’avait pris ton ordinateur portable, qu’est-ce que t’aurais fait ? » Et toute la salle de cinéma d’éclater de rire…

Que se passe-t-il dans les jours, les semaines, les années suivant l’agression, pour le psychisme ?
Une plongée en enfer. De manière plus ou moins consciente, la mémoire traumatique hante les victimes, les empêche d’être elles-mêmes. Tout y est mélangé, sans identification ni contrôle possible. Ainsi, l’indifférenciation vécue au moment des violences empêche la victime de faire le tri entre ce qui vient d’elle et ce qui vient de son agresseur. Il est ainsi très fréquent qu’elle ressente à la fois sa propre terreur, associée à une excitation et une jouissance perverses, qui sont celles de son bourreau. De même, elle ne peut se défendre des phrases assassines de l’agresseur (« Tu aimes ça », « C’est ce que tu mérites »). Et plus les violences ont eu lieu tôt dans la vie de la victime, plus elle se construit avec ce magma incompréhensible.

De quoi ne plus savoir qui on est…
Elle se sent à la fois être une moins que rien qui a peur de tout, déconnectée pour survivre, absente à elle-même ; une coupable dont elle a honte et qui mérite la mort (ce que l’agresseur a mis en scène et qu’elle finit par intégrer puisque cela tourne en boucle dans sa tête) ; une personne perverse qui pourrait devenir violente et qu’il faut sans cesse contrôler. La vie peut devenir un enfer, avec une sensation d’insécurité, de peur et de guerre permanente.

Des conduites à risque, d’évitement ou de contrôle, pour rester dissocié

Cela explique les phobies, les TOC, les angoisses ?
Pour éviter tout ce qui pourrait déclencher l’insupportable mémoire traumatique, l’enfant met en effet en place des conduites d’évitement, d’hypervigilance et de contrôle. Cela peut prendre la forme de phobies ou de TOC, comme les lavages répétés ou les vérifications incessantes, par lesquelles il tente de se rassurer. Il se crée aussi fréquemment un monde parallèle où il se sent en sécurité et va se réfugier : une cabane, sa chambre ou un monde imaginaire. Non seulement ces conduites sont épuisantes et envahissantes, entraînant des troubles cognitifs, avec un impact négatif sur les apprentissages et la scolarité. Mais, en plus, elles sont souvent contrecarrées par l’entourage, et inefficaces face à la force de la mémoire traumatique. Pour empêcher qu’elle explose, ils adoptent donc des conduites qui entretiennent la dissociation.

En prenant ensuite des drogues, de l’alcool ?
Oui, notamment. Pour s’anesthésier, les enfants provoquent aussi compulsivement des situations de stress de plus en plus fort pour augmenter la quantité de drogue sécrétée par l’organisme. Par des conduites addictives (médicaments, troubles alimentaires…), autoagressives (se frapper, se mordre, se scarifier…), des mises en danger (sports extrêmes, jeux dangereux, conduites sexuelles à risque, situation d’abus renouvelé…) ou en étant hyper violents contre autrui. Le problème est double. D’un côté, ces conduites rechargent la mémoire traumatique et rendent les conduites dissociantes encore plus nécessaires. De l’autre, les drogues produites par le cerveau sont de moins en moins efficaces. Ils doivent donc aller toujours plus loin pour en sécréter plus. Incompréhensibles pour l’entourage, ces conduites isolent les victimes, qui semblent de plus en plus indifférentes car dissociées, et ont encore moins de chance d’être secourues. C’est un cercle vicieux.

Des violences minimisées ou mises en doute

Et lorsqu’ils révèlent ce qu’ils ont subi, les mineurs courent le risque de ne pas être crus, d’être mis en cause et maltraités…
Très fréquemment, les adultes ont en effet recours à des discours moralisateurs et culpabilisants. Je me souviens par exemple d’une petite fille qui écartait les jambes et se mettait, en public, des objets dans la vulve. Tout le monde la grondait, lui disait qu’il ne fallait par faire cela, que c’était mal élevé. En lui demandant simplement « Qui t’a fait cela ? », elle a désigné le coupable. Pareil lorsqu’un ado se scarifie ou tente de se suicider. Plutôt que de le culpabiliser ou de lui faire la morale, il faudrait lui demander quelles violences il a subies pour être dans une telle souffrance !

Les victimes mineures sont-elles décrédibilisées ?
C’est le cas pour toutes les victimes de violences sexuelles, et plus encore pour les mineurs. Plutôt que d’être reliés aux violences et au trauma, les symptômes sont retournés en accusation contre les victimes. Quand ils vont très mal, on les accuse d’être des enfants difficiles, agités, bizarres, peureux, timides, d’avoir des troubles du comportement, de la personnalité, des déficiences intellectuelles, des symptômes psychiatriques, etc. 95% des victimes considèrent que les violences ont eu un impact sur leur santé mentale : il est aberrant, pervers et cruel de retourner leur fragilité psychique contre elles ! C’est une preuve médicale de leur crédibilité ! Quand elles semblent ne pas aller si mal, parce qu’elles sont très dissociées et anesthésiées émotionnellement, les violences sont minimisées ou mises en doute.

Les fausses accusations existent-elles ?
Elles représentent en fait moins de 6% des allégations… et ne viennent jamais des enfants. Pourtant, tout le monde pense qu’elles sont fréquentes, d’où la réticence à signaler lorsqu’on se doute de quelque chose. C’est un puissant mécanisme de déni face à l’inimaginable. C’est pareil pour le prétendu “syndrome d’aliénation parentale” ou la “théorie des faux souvenirs”. Le premier a été inventé par un psychiatre américain qui, dans ses ouvrages, fait l’apologie de la pédophilie ! La seconde, en vogue à la fin des années 1990 aux États-Unis, a décrit une prétendue épidémie de dénonciations à partir de faux souvenirs qui auraient été induits par des thérapeutes. Depuis, un ensemble impressionnant d’études scientifiques ont au contraire démontré que les souvenirs retrouvés sont fiables.

Une mémoire “fantôme” hypersensible et incontrôlable

Comment est-ce possible d’oublier qu’on a été victime de violences sexuelles ?
Cela paraît étonnant, en effet, mais c’est un mécanisme physiologique : la disjonction du cortex est aussi à l’origine de troubles de la mémoire. Les circuits d’intégration sont interrompus, d’où des amnésies pendant des périodes plus ou moins longues (pour 59% des victimes de violences sexuelles dans l’enfance) ou complètes (pour 38%). Plus la victime est jeune et plus son agresseur est proche, plus l’amnésie est forte. Ces oublis durent parfois des décennies. Et lorsque les souvenirs réapparaissent, c’est le plus souvent brutalement, par surprise, avec des détails multiples et précis. Cela s’accompagne d’une détresse, d’un sentiment d’effroi, de sidération et de sensations abominables.

Comment expliquer ce retour brutal des souvenirs et des sensations, parfois après des décennies d’oubli ?
C’est lié à la mémoire traumatique. En temps normal, une structure du cerveau appelée hippocampe se charge d’intégrer les événements vécus et de transformer la mémoire émotionnelle en mémoire autobiographique, accessible et verbalisable. Mais lorsque le cerveau disjoncte, la mémoire émotionnelle, qui n’est pas traitée par l’hippocampe, devient traumatique. Enkystée, c’est une mémoire “fantôme” hypersensible et incontrôlable, une “boîte noire” qui reste active. Si bien que les victimes vivent dans une terreur, une douleur et un désespoir permanents. Elles vivent aussi des sensations soudaines d’être en grand danger, écrasées, frappées, de perdre connaissance, de mourir, d’avoir la tête ou le corps qui explose, des suffocations, etc.

Qu’est-ce qui fait “exploser” cette mémoire traumatique et revenir les souvenirs ?
Cela peut être la disparition de la dissociation, quand la victime est enfin sécurisée, par exemple. Ou quand elle subit une violence de trop, qui dépasse ses capacités de dissociation. Ou quand une situation, une sensation, une lumière, une odeur rappelle les violences ou lui fait craindre qu’elles ne se reproduisent. La mémoire traumatique peut se rallumer des mois, voire de nombreuses années après les violences. Elle fait alors revivre à l’identique, avec le même effroi et la même détresse, les événements, les émotions et les sensations qui y sont rattachés.

Se faire accompagner par un “démineur professionnel” pour “revisiter” le vécu des violences 

Comment les victimes se sortent-elles de cet enfer ?
Pour s’en sortir, il faut que la mémoire traumatique soit retraitée en une mémoire autobiographique. Il faut déminer ce magma qui fait bugger le cerveau. Cela se fait en “revisitant” le vécu des violences, accompagné pas à pas par un “démineur professionnel” en mettant des mots sur chaque situation, sur chaque comportement, sur chaque émotion, en analysant avec justesse le contexte, ses réactions, le comportement de l’agresseur, ce qui permet de sortir de la dissociation. Il s’agit de remettre de la chronologie, de faire des liens, d’expliquer au patient les mécanismes du trauma et de remettre le monde à l’endroit. Nul besoin de médicament, sauf pour diminuer la souffrance et le stress lorsqu’ils sont trop importants (anxiolytiques de façon ponctuelle, antalgiques et bêtabloquants pour diminuer la sécrétion d’adrénaline). Peu à peu, les atteintes neurologiques sont réparées et les stratégies de survie deviennent inutiles. Tout cela prend du temps et doit se faire au rythme du patient, avec une psychothérapie de fond. Il est dangereux aujourd’hui de ne proposer aux patients que des thérapies “outils”, comme l’hypnose, l’EMDR ou les TCC, sans travail de psychothérapie au long cours. Certes, c’est pratique, vite fait et ça ne coûte pas cher. Mais ce sont des bombes à retardement.

Certaines psychothérapies peuvent-elles aggraver les symptômes traumatiques ?
Oui, parce qu’elles ne permettent pas au récit d’émerger progressivement, de manière que le cerveau puisse l’élaborer à son rythme. Non seulement elles peuvent faire à nouveau effraction pour le patient, mais elles renforcent la dissociation. Ce que font déjà très bien les victimes toutes seules, en écoutant de la musique très fort, en se collant à des jeux vidéo ultra violents, ou en s’anesthésiant avec de la drogue ou de l’alcool. Pas besoin de psy pour ça !

Est-il parfois trop tard pour se soigner du traumatisme ?
Plus la prise en charge est précoce (idéalement, dans les douze heures), moins le traumatisme sera prégnant. Cependant, même des années après, il est possible de traiter la mémoire traumatique et de “réparer” l’effraction psychique initiale et que la personne puisse enfin reprendre librement le cours de son existence. Il faut, comme le disait si joliment la psychanalyste Alice Miller, « abattre le mur du silence et rejoindre l’enfant qui attend ».

http://inceste-viol-protegeons-les-enfants.psychologies.com/fonctionne-memoire-traumatique/

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