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INCESTE, LES MERES COMPLICES?

tag : déni, inceste
by : Dominique Mathey
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Rien n’est plus complexe que la réaction d’une mère lorsqu’il y a inceste dans la famille, explique le psychologue Charles Roy. Elle peut aider sa fille, la rejeter, nier l’abus ou collaborer avec l’agresseur.
Lorsque Cécile Dionne, l’une des trois jumelles Dionne encore vivantes, a dévoilé à la télévision que ses soeurs et elle avaient été «taponnées» par leur père à l’adolescence, la question a fusé,

directe: «Votre mère le savait-elle?» lui a-t-on demandé. «Les mères le savent toujours», a répondu Cécile, le regard lourd de reproches.

Ce n’est pas si simple, estime quant à lui le psychologue Charles Roy, qui pratique à Montréal. Depuis près de 15 ans, il rencontre quotidiennement des femmes qui ont été victimes d’inceste dans leur enfance.

Des femmes blessées, détruites. Le rôle des mères dans les familles où sévit l’inceste est complexe. Certaines savent, d’autres pas. Ou ne veulent pas savoir. Mais il faut cesser de leur jeter la pierre,

dit Charles Roy. Ce ne sont quand même pas elles qui ont abusé de leurs filles! Même si elles n’ont pas toujours su les protéger…

Châtelaine: Comment en êtes-vous venu à vous intéresser aux femmes victimes d’inceste?
Charles Roy: Au début de ma carrière, dans un CLSC, je rencontrais des femmes qui faisaient des drôles de dépression. Rien dans leur passé immédiat ne justifiait leur état. Elles présentaient toutes un profil commun dépression chronique, pauvreté existentielle. Comme si elles avaient un ressort cassé. Au fil des entrevues, la vérité sortait: elles avaient été sexuellement abusées par un parent dans leur enfance.

Alors j’ai commencé à faire des liens, j’ai développé une sorte de flair pour les identifier.

Vos patientes se rappelaient-elles ce qui était arrivé?

Certaines s’en souvenaient parfaitement, avec beaucoup de détails. C’était flou pour d’autres et plusieurs n’en gardaient aucun souvenir: elles avaient enfoui ça quelque part dans leur subconscient.

L’amnésie complète, c’est une forme de protection, on refoule pour pouvoir survivre, car ce qui s’est passé est insupportable. Mais souvent, à l’aube de la trentaine, lorsque ces femmes s’aperçoivent

que leur vie ne va nulle part, qu’elle n’a jamais fonctionné, elles viennent consulter. Les histoires qu’elles me racontent ne sont pas toujours des histoires d’horreur, des agressions répétées avec de la violence. Souvent, il ne s’agit que d’événements isolés. Mais un seul geste peut parfois provoquer une cassure, briser la confiance et causer des dommages sévères.

Car ce qui est grave et très perturbant, c’est d’être utilisé comme un objet au service des fantasmes d’un adulte

Qu’est-ce que vos patientes vous disent de leur mère?

La majorité n’ont jamais pu établir de liens affectifs avec leur mère, qui s’est en quelque sorte désengagée vis-à-vis de ses enfants. Plusieurs de ces mères étaient malades, alcooliques, mentalement perturbées, dépressives ou atteintes d’une maladie chronique. Bref, elles n’étaient pas là, physiquement ou mentalement, pour protéger leur fille. Mes patientes me disent: «Ma mère était impuissante face à ce qui arrivait,

on l’aurait dit déconnectée de la réalité.»

Ces mères savaient-elles réellement ce qui se passait chez elles?

Certaines le savaient, d’autres pas. Chez celles ayant elles-mêmes été victimes d’inceste lorsqu’elles étaient petites, car l’histoire se répète souvent, j’y reviendrai, se manifeste un processus classique de refoulement: elles nient ce qui leur est arrivé, elles l’occultent. Ces femmes se ferment complètement, elles ne sentent plus rien et sont incapables d’établir des liens affectifs avec qui que ce soit.

Même avec leurs propres enfants. Elles se défendent mal dans la vie et leurs enfants deviennent vite un fardeau: elles n’ont pas la disponibilité pour s’occuper de leur bien-être.

Elles ne voient pas, ou peu, ce qui se passe autour d’elles.
Parfois, quand ces mères apprennent la vérité, elles pensent que c’est un coup monté. Elles abandonnent leur fille, préfèrent croire la version du conjoint, du père ou du beau-père de leurs enfants.
Et certaines croient même que leur fille a provoqué le père, même si elle n’a que 8 ou 11 ans Elles ne voient pas leur fille comme une victime d’un abuseur… J’ai eu un cas de suicide, un jour:

il sagissait d’une jeune femme qui ne s’était jamais remise de l’accusation de sa mère «Tu es une putain!» C’est une seconde blessure, aussi forte que la première.

Une injustice absolue…

Il a aussi les mères qui savent parfaitement depuis le début que leur fille subit les assauts du père, mais qui ne veulent rien faire. Pour elles, c’est impensable d’envisager une rupture avec leur mari.

Sur les plans financier et affectif, elles sont dépendantes de lui. Souvent même, elles en ont peur. Elles ne peuvent pas imaginer le quitter, même si leurs enfants -parfois autant les fils que les filles doivent en souffrir. Enfin, et elles sont plus nombreuses qu’on ne le croit, il y a des mères qui prennent la défense de leur fille, jettent leur conjoint dehors, essaient de réparer les pots cassés…

Est-ce que ces filles qui sont soutenues par leur mère s’en sortent mieux?

À mon avis, oui. Car on ne fait pas comme si rien ne s’était passé. Enfin, un adulte prend notre défense… Cela dit, ces filles se sentent coupables d’avoir brisé leur famille. C’est très lourd à porter

quand on n’a que 10 ans.

Et les mères complices, voire instigatrices des abus?
Charles Roy: C’est très rare. Peut-être 5% de tous les cas… Mais j’ai l’intuition qu’il y en a plus, que ces chiffres ne reflètent pas la réalité.

Si la dépendance financière est l’une des raisons pour lesquelles les mères ferment les yeux, peut-on croire que les cas d’inceste diminueront puisque la majorité des femmes d’aujourd’hui travaillent?
Pas nécessairement. Car la dépendance affective, qui n’a rien à voir, ou peu, avec l’argent, joue un grand rôle. Pour ma part, je crois qu’il y a plus de situations potentiellement dangereuses aujourd’hui a

vec la prolifération des familles éclatées. Toutes les études prouvent que les risques d’inceste sont plus élevés dans la famille lorsque le conjoint de la mère n’est pas le père biologique des enfants.

On parle dune chance sur six! Une mère seule avec trois enfants, heureuse d’avoir trouvé quelqu’un dans sa vie, sera aussi dépendante que sa mère ou que sa grand-mère qui ne travaillaient pas…

Et il y a l’égalité entre les sexes qui fait que certains hommes, incapables de négocier d’égal à égal avec leur femme, se rabattent sur celles avec qui ils peuvent encore user d’autorité…

Vos patientes sont-elles plus en colère contre leur père abuseur ou contre leur mère qui n’a pas su les protéger?

Elles doivent d’abord se permettre cette colère. Reconnaître que leur enfance leur a été volée, que ce qu’on leur a fait est inacceptable. Moi, en thérapie, je leur donne le droit d’être fâchées,

de ne plus aller dans les fêtes de famille si elles ne le veulent pas, de ne plus se forcer à écouter les farces plates de leur père. Mais plusieurs se sentent incapables de couper les liens avec leurs parents.

J’essaie de faire faire le deuil à mes patientes de cette famille qui leur a fait plus de mal que de bien. Cela dit, la colère se manifeste plus aisément contre l’abuseur, même si plusieurs femmes continuent d’admirer leur père. Dans certaines familles, le père incestueux était aussi celui qui donnait toute l’affection. Du côté de la mère, c’était le néant.
Une telle situation peut même conduire à l’aveuglement complet chez la victime: elle nie qu’il y a eu abus. Ou bien elle rejette sa colère sur la mère qui n’a rien fait pour l’aider! Cette responsabilisation

extrême de la mère, qui a été bien à la mode ces dernières années, a surtout profité aux abuseurs. Il est impératif de remettre les pendules à l’heure.

Quel genre de mère deviennent les filles abusées?

Certaines refusent d’avoir des enfants pour que l’inceste ne se reproduise jamais. Elles ne font plus confiance à personne.
D’autres s’enfoncent dans le même pattern, répètent les mêmes erreurs: elles quittent le domicile familial à 18 ans, se marient avec un gars qui ressemble à leur père: un homme souvent violent,

dominateur, parfois alcoolique ou toxicomane. Elles veulent «racheter» leur passé, corriger cet homme, triompher de lui. Mais c’est un piège…

Les femmes victimes d’inceste dans leur enfance ne répètent pas toujours le même scénario. Mais si elles nient ce qui leur est arrivé, elles seront alors aussi peu disponibles avec leurs enfants que leur mère ne l’était. Il y aura la même carence affective. Même si leurs enfants ne seront jamais abusés ou agressés, ils auront un profil psychologique similaire à ceux qui proviennent de familles incestueuses.

Sans le vouloir, la mère transmet sa honte à ses enfants. Une deuxième génération devient ainsi marquée par l’inceste, sans qu’il y ait eu véritablement abus sexuel…

Qui sont les mères?

Les premières études étaient impitoyables pour les mères de famille où sévissait l’inceste: on les décrivait comme des femmes faibles, soumises, indifférentes ou de moeurs légères.

On les disait passives et distantes vis-à-vis de leur famille.

Les chercheurs -parmi lesquels se trouvent désormais de nombreuses femmes- sont aujourd’hui plus nuancés. En 1981, la psychologue Judith Herman a réalisé une étude auprès de 40 victimes d’inceste: 55% d’entre elles ont indiqué que leur mère avait été sérieusement malade durant leur enfance: alcoolisme non diagnostiqué, psychose et dépression, mais aussi maladie d’ordre physiologique.

Dans le groupe témoin, des femmes recrutées au hasard dans la population, seulement 15% ont souligné que leur mère avait souffert de telles maladies. De plus,

38% des femmes victimes d’inceste ont rapporté qu’elles avaient été séparées de leur mère pendant un certain temps. Dans le groupe témoin, il n’y en avait aucune.

En 1985, une autre étude menée cette fois par Margaret Myer auprès de 43 mères de victimes d’inceste apporte aussi de nouveaux éléments: contrairement à ce qu’on est porté à croire, toutes les mères ne se rangent pas du côté du père abuseur. En fait, la chercheuse a découvert que 56% des mères ont protégé leur fille et rejeté leur conjoint dès qu’elles ont su ce qui était arrivé.

Toutefois, 35% ont rejeté leur fille au profit du conjoint. Il s’agissait de femmes extrêmement dépendantes de leur mari, remarque Margaret Myer, tant sur le plan affectif que financier. Plus troublant: ces mères manifestaient carrément de l’hostilité à l’égard de leur fille et chez toutes on a diagnostiqué des «désordres de personnalité narcissique».
Enfin, 9% des mères qui faisaient partie de l’étude n’ont strictement rien fait pour aider leur fille, elles sont restées neutres, ne se rangeant ni du côté du conjoint ni du côté de leur enfant. «Leur seule réaction consistait à nier l’inceste», précise Margaret Myer. En thérapie, elles faisaient preuve d’une indifférence totale.

Plusieurs études récentes contredisent aussi le mythe selon lequel l’éloignement sexuel dans le couple contribue au développement de l’inceste. Certains professionnels blâment toujours implicitement la mère

pour tous les problèmes sexuels du couple. «Comme s’ils admettaient qu’une femme doit être au service de son mari sur demande, écrit la psychologue Judith Herman,

dans son livre Father-Daughter Incest (1981), et que si celle-ci ne réussit pas à lui donner entière satisfaction, le mari a le droit de la remplacer de la façon qui lui convient le mieux.»

“Pourtant, insiste la psychologue, l’absence ou la négligence maternelle «ne peuvent absolument pas constituer une excuse à l’inceste paternel»…

Source: TURENNE, Martine. Châtelaine, Avril 1997.

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