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Est-ce que vous avez des comportements violents auprès de votre conjoint?

tag : conséquences sur les victimes, intégrité, tabou, terrorisme conjugual, violence conjuguale, violence des femmes
by : Dominique Mathey
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Certaines parties de ce texte ont été produites par Anik Paradis . Nous la remercions pour son travail. 

** Cette section porte sur les dynamiques de violence chez les couples hétérosexuels. Pour davantage d’informations sur la violence conjugale chez les couples de même sexe, cliquez ici .

Mise en contexte

 « J’ai envie de le rentrer dans le mur! »
« Je n’en pouvais plus, je lui ai sauté dessus et je l’ai mordu ! »
 « Tant qu’il n’aménagera pas le sous-sol, qu’il oublie ça, le sexe… »
 « Il ne veut pas qu’on parte en voyage? Attends au prochain souper de famille : je vais pouvoir dire à tout le monde à quel point il est gratteux! »
« Je crie tellement après les enfants que j’ai honte de sortir de chez moi. Les voisins me regardent tout croche. » 
« Y’est tellement cave ! Il ne se passe pas une journée sans que je lui dise qu’il est un gros lâche stupide, un crisse de con, égoïste et mettez-en ! » 
« Ça va faire le niaisage, on en parle depuis deux ans… J’ai arrêté de prendre la pilule sans lui dire… De toute façon, il faudra bien qu’il s’y fasse quand je serai enceinte… » 
 « C’est moi qui paye ? Je vais lui couper ça, l’Internet! Ça va faire, passer son temps sur Facebook ! »
« J’ai le droit de lire ses courriels et ses textos! S’il n’avait rien à se reprocher, ça ne lui dérangerait pas… »

En d’autres termes, on parle de violence si vous : 
      – rabaissez, humiliez, blâmez votre conjoint devant des proches
      – vous moquez de lui, le ridiculisez dans ce qu’il fait ou ce qu’il dit
      – brisez ce qui lui appartient – le critiquez continuellement
      – lui téléphonez ou le textez sans cesse, épiez ses moindres gestes
      – le menacez de le blesser ou de le tuer 
      – l’insultez ou criez après lui
      – utilisez le chantage sexuel pour obtenir ce que vous voulez
      – le frappez
      – contrôlez excessivement les ressources financières de la famille 

Vous vous reconnaissez dans l’une ou plusieurs de ces situations? Cette section pourrait vous être utile. Si vous avez de tels comportements, sachez d’abord que vous n’êtes pas seule et que de l’aide existe ).  La violence n’est jamais la bonne solution et il est possible d’agir autrement. Mais pour changer, il faut d’abord comprendre la dynamique de la violence. http://www.tcvcasl.com/index.php?option=com_content&view=article&id=132&Itemid=167

Femme violente dans le couple: qu’en est-il exactement?

La violence exercée par les femmes a déjà représenté un tabou. Longtemps, on a cru que les femmes étaient des êtres fondamentalement doux et dénués d’agressivité, ce qui contribuait aussi à les enfermer dans un certain stéréotype. D’un autre côté, dans les vingt dernières années, les médias ont véhiculé l’idée selon laquelle les femmes seraient aussi violentes que les hommes. Peut-être avez-vous entendu parler de certaines études1 qui, chiffres à l’appui, soutiennent que les femmes et les hommes sont, à part égales, victimes violence conjugale. Mais qu’en est-il exactement?

Tout d’abord, il faut se questionner sur la manière dont ces enquêtes sont réalisées. Par exemple, l’Enquête sociale générale compile comme gestes violents une gifle, tout comme un coup de poing causant des blessures sévères, sans que l’on sache dans quel contexte dans lequel ces gestes ont été commis. 

Sans excuser les gestes posés, il est important de rappeler que si certaines femmes peuvent exercer des comportements violents (Ex : menaces, gifles, etc.), les gestes violents entraînant des blessures sont, la plupart du temps, posés par des hommes. Au Canada, les hommes représentent 17% des victimes dans les cas déclarés de violence conjugale, tandis que les femmes victimes représentent 83%2 .

Au Québec, les hommes demeurent aussi très largement les auteurs de crimes relatifs à la violence conjugale (82%)3. Il importe donc de bien étudier les données avant de conclure rapidement que la violence est commise autant par les femmes que les hommes. 

Les comportements violents des femmes existent et ne doivent pas être niés, bien au contraire. Pour mettre fin à un comportement, il importe d’abord de l’identifier. 

Dans quels types de relations les femmes présentant des comportements violents évoluentelles? Michael Johnson, sociologue américain réputé, a repéré des comportements violents chez les couples et en a établi trois différentes catégories :
      

1) La première est celle de la « violence commune à l’intérieur des couples ». Dans cette dynamique, les deux conjoints exercent de la violence, souvent verbale et psychologique. Cette violence est occasionnelle, résulte de conflits mal gérés, d’importantes difficultés de communication et d’une incapacité des partenaires à gérer leur colère mutuelle. D’où une escalade des paroles, des émotions mal
contrôlées et une dynamique profondément malsaine. C’est dans cette dynamique que la plupart des femmes qui ont des comportements violents se retrouvent. Il s’agit ici de « violence expressive », résultant d’une mauvaise communication entre les conjoint-e-s.  

2) Johnson présente une deuxième catégorie de dynamique violente : le « terrorisme conjugal ». Dans cette dynamique, une personne contrôle chaque aspect de la vie d’une autre, avec des conséquences lourdes sur l’intégrité physique et/ou psychologique des victimes4.  Il s’agit ici de « violence intentionnelle » : les comportements violents visent une prise de pouvoir sur l’autre, et pas seulement l’expression d’une certaine agressivité. En d’autres termes, la violence devient le moyen choisi pour obtenir ce que l’on veut. Ce type de violence, selon Johnson, est très rarement exercé par des femmes, bien qu’elle existe et ne doive pas être niée.  


Ce que Johnson appelle le « terrorisme conjugal » est très semblable à ce que l’on définit au Québec comme étant la dynamique de la violence conjugale. Il s’agit d’une dynamique qui se répète, qui s’inscrit dans un cycle qui est faite d’intentions et qui vise une prise de contrôle sur la vie du partenaire:

Les conséquences sur les victimes, selon qu’il s’agisse de violence commune au sein des couples ou de terrorisme conjugal, sont aussi très différentes5. Des outils pertinents existent d’ailleurs pour différencier une chicane de couple et une dynamique de violence conjugale. 

3) Un troisième type de dynamique violente dans les couples existe, celui de la « violence de résistance ». Dans les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale, les intervenantes entendent souvent les femmes tenter d’excuser les comportements violents de leur conjoint en disant : « Mais je suis violente, moi aussi… ». D’abord, il est plutôt rare qu’une personne présentant des comportements réellement violents les admette aussi facilement. Au contraire, plusieurs conjoints violents tentent de minimiser leurs gestes en accusant leurs partenaires d’être aussi violentes qu’eux : les femmes en viennent ainsi à douter d’elles-mêmes.  

Or, si votre conjoint vous frappe, par exemple, il ne serait pas surprenant que vous vous défendiez en le frappant à votre tour : vous n’initiez pas l’agression, mais tentez plutôt de la faire cesser. Au-delà de l’auto-défense, cette façon de faire est un mécanisme de protection. Vous pouvez, par exemple, lancer une poignée d’insulte au conjoint, qui hurle depuis une demi-heure, dans le but de faire cesser l’échange. Ces mécanismes sont défensifs et non pas offensifs : vous réagissez à la violence exercée. Malheureusement, ces réactions risquent d’intensifier la crise, et peuvent avoir un impact sur votre sécurité.

 Dans tous les cas, il faut se demander : quel conjoint a le plus de pouvoir sur l’autre ? Quelle est la gravité des gestes posés? En effet, les femmes sont, de loin, les plus susceptibles de subir des coups et blessures et de craindre pour leur sécurité. Si vous vous reconnaissez plutôt comme femme victime de violence conjugale, cliquez ici.  

Aucune forme de violence n’est plus acceptable qu’une autre, cela va de soi. Et si vous vous reconnaissez dans l’une ou l’autre des situations présentées, sachez que de l’aide existe pour vous en sortir. Dans ces trois types de dynamiques violentes en contexte conjugal, votre sécurité et celle de vos proches pourrait être en danger.  

Il importe donc d’être très vigilant-e-s en ce qui a trait à la détection des comportements violents chez les femmes, pour apporter une aide adéquate.  

Les conséquences de la violence (Impacts sur vous et sur vos proches)

« C’est ma troisième relation qui foire en deux ans… Ils me disent tous qu’ils en ont assez de mes crises de jalousie… » 
« La DPJ est venue chez moi… ils disent qu’ils veulent m’aider, mais moi j’ai peur de me faire enlever mes enfants… » 
« Non mais ça s’peux-tu ! Il a appelé la police parce que j’ai fait une crise devant chez lui en allant chercher les enfants ! Y’a une plainte sur moi et je dois passer à la Cour… qu’estce que je vais faire ? » 
 « Plus je saute la coche, plus que je me sens coupable, et plus que je me sens mal, plus je saute la coche ! Comment je vais me sortir de ça ? » 
« Je le sens toujours sur la défensive quand je lui parle… J’ai juste voulu lui faire un câlin hier et il a sursauté… »
« Une plainte de harcèlement ? Parce que j’appelle trop souvent ? Bin voyons donc ! »  

La violence entraîne des conséquences dramatiques pour les personnes qui en sont victimes. Elle rejaillit ainsi sur toute la société. La violence brise de nombreuses vies, menace l’intégrité des personnes et a un impact sur leur santé physique et mentale. Elle amène les victimes à s’isoler et à se renfermer sur elles-mêmes, en délaissant leur travail, leurs études ou leurs activités sociales.  

Si vous vous reconnaissez comme agresseure au sein d’une dynamique de violence conjugale, il y a fort à parier que votre conjoint subisse des conséquences importantes, au niveau psychologique et peut-être même au plan physique. On ne peut vivre dans un milieu violent sans en ressentir des impacts. Tout le monde a droit au respect et à vivre dans un environnement dénué de violence. Les comportements violents vous ont peut-être été utiles à certains de moments de votre vie, mais ils ne sont pas acceptables pour autant. Sachez qu’il y a d’autres façons de se comporter et que de l’aide est accessible. 

Les impacts de vos comportements violents sur les enfants doivent aussi être abordés. Tout d’abord, les enfants peuvent répéter les comportements qu’ils ont vus et appris (vidéo Children See, Children Do ). De plus, les enfants témoins de la violence conjugale en ressentent les impacts . Vous exercez peut-être aussi des comportements violents sur eux, ce qui entraîne des conséquences sur leur santé physique et mentale. Heureusement, rien n’est irréversible et vous pouvez changer. 

Vous-même vivez sans doute plusieurs conséquences : ruptures amoureuses, plaintes à la police, processus judiciaire, signalements et suivis à la DPJ, interventions à la maison et/ou à l’école, honte, sentiment de culpabilité, isolement, dépression, automutilation, idées suicidaires, etc. C’est bien souvent dans ces étapes difficiles qu’on a envie de crier à l’aide. 

Comment vous en sortir? Vous vous sentez peut-être seule et il peut paraître hors de question d’en parler avec vos proches. Mais vous n’êtes pas seule à vivre cette situation. Vous n’êtes pas seule à vouloir vous cacher et à vous sentir coupable. Rester isolée ne fera qu’empirer ce cercle dans lequel vous êtes prise. 

Y a-t-il une façon d’agir autrement ? De ne pas utiliser la violence ? OUI ! Il faut comprendre ce qui motive nos comportements violents, nos réactions inadéquates. Pourquoi est-ce que j’agis comme cela ? Comment faire pour agir autrement ? D’où ça vient ? Qu’est-ce je veux et peux changer ? Bref, il faut demander de l’aide. 

 Que vous préfériez de l’aide individuelle ou de groupe, il est temps de faire le premier pas.  
 


Intégrer des ressources d’aide pour femmes ayant des comportements violents

Il existe de l’aide individuelle et de groupe, pour vous et/ou pour votre entourage. Chaque formule a ses avantages. Par exemple, bien que le groupe puisse être intimidant au départ, il s’agit d’une forme d’intervention très enrichissante. Vous constaterez ainsi que vous n’êtes pas seule et le partage de groupe pourrait vous aider à y voir plus clair dans vos propres comportements. 

Sachez d’ailleurs que le Centre des femmes de Laval offre des groupes d’intervention auprès des femmes ayant des comportements violents : n’hésitez pas à vous y inscrire (hyperlien vers la page web du site web du Centre des femmes, ou coordonnées du centre). Plusieurs autres centres de femmes du Québec tiennent des activités similaires. 

Alors, êtes-vous prêt à vous investir pour vous-même? Vous êtes la bienvenue! En cliquant, vous accèderez à une liste de ressources qui offrent de l’aide individuelle et de groupe aux femmes, à Laval et ailleurs au Québec. 

Est-ce que les résultats sont garantis ? Certainement pas ! Mais plus vous êtes motivée et déterminée à apporter des changements à vos comportements, meilleures sont vos chances d’y arriver. Bonne chance !  

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