Nous désirons tous être de bons parents et profiter dans notre famille d'un climat serein et bienveillant pour chacun. Nous avons accès à de plus en plus de livres sur la parentalité, des ressources, des livres, afin de mieux appréhender les besoins, les émotions des enfants. 

Mais, parfois, le rêve peut encore tourner au cauchemar, avec une nuit sans sommeil, du stress, de la fatigue. Et là, malgré toute la bonne volonté, il devient difficile de tout contrôler. 

Et, si, nous commencions à étudier nos propres réactions, nos émotions, induites par nos blessures d'enfance, notre propre passé, notre positionnement dans notre fratrie. 

Parce que, un adulte qui règle ses propres comptes et surtout ses propres échecs par le biais de ses enfants, en fait des otages. Qu’il s’agisse d’un père ou d’une mère, excluant puis manipulant l’enfant et dénigrant l’image de l’autre parent, le résultat est le même : l’enfant devenu adulte continue d’en porter les douleurs. Le Dr. Susan Babel, psychologue spécialisée dans la dépression causée par des traumatismes, déclare « Des études ont démontré que la douleur chronique peut être causée par une blessure physique, mais aussi par le stress et les problèmes émotionnels ».

La violence existe, sous toutes ses formes. La reconnaître, c'est avancer. La renier, c'est lui donner de la force jusqu'à ce qu'elle explose, et renforcer le tabou.

Dominique Mathey

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Notre corps ne ment jamais - Alice Miller

Notre corps ne ment jamais - Alice Miller

Non, nous ne sommes pas obligés d’être les « bons » enfants de nos parents s’ils nous ont fait du mal et s’ils continuent de pratiquer le chantage affectif.

Oui, c’est notre responsabilité que d’être attentifs aux signaux d’alerte que nous envoie notre corps.

Oui, au terme de ce chemin exigeant par lequel nous acceptons de relire l’histoire de nos rapports avec nos parents, il y a l’espoir de naître à une authentique liberté intérieure.

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La triste histoire d'une maman trop bonne

La triste histoire d'une maman trop bonne

Delphine a 4 ans lorsque son enfer commence… “On s’est toujours promis, avec maman, qu’on n’en parlerait plus, que c’était fini. Sauf qu’après cette promesse que je me refusais de trahir, j’ai eu de nombreux mauvais moments à passer... J’ai pris peu à peu conscience que mon mal-être venait probablement du vagabondage hospitalier vécu dès mon plus jeune âge, de la façon dont ma mère me manipulait, de toute cette tristesse, ces peurs si bien refoulées depuis des années. Mon esprit ne veut pas se souvenir mais mon corps, lui, n’a rien oublié et me le fait savoir.” Le syndrome de Münchhausen par procuration est une forme grave de sévices à enfant : l’adulte qui a la charge de l’enfant provoque de manière délibérée chez lui des problèmes de santé sérieux et répétés avant de le conduire auprès d’un médecin.

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Les vrais chiffres du divorce et de la séparation en France - La famille française (ou ce qu’il en reste)

Cette absence du père conduit à un manque de repères paternels, source de difficultés pour le développement de l’enfant. Selon l’Ined, seules 15% de familles monoparentales sont constituées par le père. Au total, 1,3 million de pères seraient privés de leur enfant.

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violence éducative ordinaire

Existe-t-il de bonnes fessées ? Exposé sur les conséquences de la violence éducative et ressources pour en sortir

Accepter que le fait de perdre les habitudes de violence éducative prend du temps et peut être douloureux

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Je voudrais vous parler de mon souhait : celui de mettre un peu de douceur dans ce monde, ouvrir un espace, une porte, que l'on soit victime, bourreau, que chacun puisse un jour se dire "oui, je l'ai été, mais aujourd'hui, je choisis de le reconnaître, de m'ouvrir à d'autres possibilités".


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