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Demande transmise par Aude :
Appel à participation à une recherche
Dans le cadre d’un mémoire de Master 2 en Psychologie à l’université d’Aix-Marseille, que je réalise sous la supervision du professeur Evelyne Bouteyre, je recherche des participants victimes d’inceste dont l’agresseur est un membre de la famille de sexe féminin.

Objectif de la recherche :
Aujourd’hui, l’inceste suscite de nombreuses études à travers le monde. Néanmoins, la majorité d’entre-elles concerne l’inceste commis par des agresseurs de sexe masculin. C’est pour cela que nous trouvons pertinent de s’intéresser aux victimes d’inceste dont l’agresseur est une femme. Cette recherche vise ainsi à combler un manque d’information concernant ce type d’inceste et d’en cerner les conséquences. Participer à cette étude est une opportunité pour les participants de témoigner. Les résultats issus de cette recherche permettront de mieux informer sur cette réalité, de faire avancer la recherche et de servir à l’information et à la formation des professionnels auprès des victimes.

Procédure :
Il s’agit d’une recherche respectant l’anonymat des participants. Autrement dit, le nom ou des éléments permettant de reconnaitre l’identité de la personne ne seront jamais communiqués. Votre participation consiste à répondre à des questions en cochant des cases. Cela prend environ 30 minutes.
Pour participer, il vous suffit de remplir le formulaire disponible via le lien ci-dessous. Les réponses anonymes seront alors collectées sur la plate-forme sécurisée de Google Forms. Ces données seront uniquement accessibles à Aude Papillault et Evelyne Bouteyre.
L’étude comprendra une seconde phase, au cours de laquelle nous contacterons les participants qui le souhaitent afin d’organiser des entretiens. Il s’agira d’étayer les informations propres au vécu et aux conséquences de l’inceste. Ces données seront évidemment anonymisées.

https://docs.google.com/forms/d/11hWLwP5TSTITsc_OLTUDggHk_VlbOO0W_Q9zb9b2bgs/edit

Merci de votre participation.

Aude Papillault Des Charbonneries
Etudiante en Master 2 de Psychothérapies, Psychopathologie et Psychologie Clinique
Aix-Marseille Université

Les femmes demandent pardon aux hommes

Qui doit commencer ?
Pour apaiser et guérir un peu de notre maladresse partagée, il semble très utile et efficace de prendre une responsabilité, reconnaître notre part d’ombre et de comprendre comment nous participons involontairement à ce qui nous fait si mal.
« Je suis une femme
Qui a été blessée par les hommes.
Les femmes ont été abusées durant des siècles, par des hommes inconscients
Nos blessures ont besoin d’être vues et guéries.
Je suis une femme
Qui a blessé les hommes
Les blessures des hommes ont besoin d’être vues et guéries…
Je rêve d’un moment,
Où nous tous prendrions une responsabilité pour la part de chacun de nous qui participe à ce gâchis…
Que nous puissions revenir dans notre puissance, en assumant notre part de cette bataille.
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Des femmes, des hommes, des abus, du respect… Et toujours une forte attraction.

Une formidable occasion de se (re)découvrir entre femmes et hommes, de faire connaissance comme si nous devions reprendre l’évolution de nos rapports après une période de stagnation pendant laquelle l’intimité était sensée aller de soi.
Un dialogue renouvelé grâce auquel chacune et chacun pourrait se faire connaître dans ses envies, ses besoins, ses limites et dans le respect de son intimité.
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Pourquoi est-ce si difficile de définir la masculinité?

Traditionnellement, les rôles féminin et masculin étaient bien définis. La voiture, l’argent, la politique, le travail rémunéré: pour les hommes. La famille, la cuisine, les soins aux enfants, le ménage: pour les femmes. En tant qu’homme, le questionnement portait sur ces rôles et la satisfaction masculine venait récompenser celui qui les jouait bien.
L’époque a changé et cette méthode ne fonctionne plus. Le rôles ont cessé depuis belle lurette de nous informer sur le genre.
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Conséquences sur la vie conjugale des victimes à l’âge adulte

Difficultés à faire confiance à l’autre, à avoir confiance en soi et en ses ressentis.
Méfiance envers le conjoint, surtout si celui-ci est du même sexe que l’abuseur.
Sentiments ambivalents d’amour et de haine, de désir et de dégoût.
Peur intense d’être à nouveau trahi, manipulé par l’autre.
Difficulté à discerner ce qui est réel ou projeté, vrai ou faux. Une perpétuelle remise en question de la légitimité de ses propres ressentis rend dès lors le positionnement face à l’autre difficile.
Difficultés à mettre ses propres limites et respecter celles de l’autre, avec un risque à la fois de transgression des limites de l’autre et des siennes.
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Lien entre fibromyalgie et violences sexuelles dans l’enfance

«Nous savons maintenant qu’un stress émotionnel sévère, tel que celui provoqué par un abus sexuel, peut provoquer des lésions cérébrales chroniques», explique le professeur Efrati. «Ces plaies cérébrales non cicatrisantes peuvent expliquer certains troubles physiques et psychologiques à long terme incessants, tels que la fibromyalgie.
«Nous savons aussi maintenant que la fibromyalgie s’enracine dans la partie du cerveau responsable de l’interprétation de la douleur.En utilisant de nouvelles technologies d’imagerie cérébrale, nous avons pour la première fois identifié les zones du cerveau touchées par un traumatisme.
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Tu es comme tu es...Un conte pour enfants inspiré de la CNV

tu es
Comment communiquer avec les autres sans leur nuire ? Pompon le lapin est perdu... Est-il grand ou petit ? Méchant ou gentil ? "Tu es comme tu es", affirment ses parents. Son père lui dit même un secret : "Quand quelqu'un te dit quelque chose sur toi, il révèle toujours quelque chose sur lui. Penses-y avant de répondre !" "Une …
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Le corps n’oublie rien, surtout pas un traumatisme

Le traumatisme fait partie de la vie. Et le corps en garde les traces et une mémoire qui imprègne nos émotions. Le psychiatre Bessel van der Kolk a passé quarante ans à soigner des survivants. En racontant les histoires vécues par ses patients (vétérans, femmes et enfants maltraités, victimes d'accidents ou d'agressions), il entraîne le lecteur dans un parcours passionnant à travers les méandres du syndrome du stress post-traumatique. Unique en son genre, ce livre conjugue neurosciences, pratique clinique et réflexion sur la maladie. Il montre notre extraordinaire capacité à souffrir, mais aussi à guérir, en offrant de nouveaux espoirs pour retrouver goût à la vie.
Bessel van der Kolk, psychiatre américain d'origine néerlandaise, spécialiste du syndrome de stress post-traumatique, professeur de psychiatrie à la Boston University, a fondé le Trauma Center de Boston.
« Un livre capital qui donne un sens à la souffrance et offre des pistes de guérison. » Booklist
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