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La vie en Moi

Le jour de l’an et le bonheur - Yvon Dallaire

En début de chaque année, nous nous souhaitons le meilleur pour l’année qui vient et surtout « le paradis avant la fin de vos jours », comme disaient mes grands-parents. Mais qu’est-ce ce fameux paradis, ce fameux bonheur éternel ? Le livre de la vie Je ne vous apprendrai rien en vous disant que la vie est difficile et constitue une longue suite …
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La violence chez la femme : sa libération est-elle possible?

La violence chez la femme : sa libération est-elle possible?-Sa libération est possible d’abord, par la reconnaissance de sa propre violence, ensuite l’accueil, l’acceptation et enfin l’amour pour cette Part pour qu’elle puisse être guérie.-Oser poser son ou ses part d’ombres, haine, violence, hystérie de notre inconscient sans jugement-Quel lien existe-t-il avec la violence et notre transgénérationnel ?-Le féminisme et la profonde féminité. Vous avez accès à sa conférence...

L’entre chien et loup de la fiction - Une femme invisible

Marguerite Toucas-Massillon, celle qui fut longtemps privée du titre de mère pour satisfaire la bienséance. Marguerite est, en effet, la mère cachée d’Aragon, fruit d’amours clandestines avec Andrieux, député et ami de son père, de trente-six ans son aîné. Mais pour préserver l’honneur de la famille, c’est une fable qui préside à la naissance du petit Louis. On raconte qu’il est le fils d’un couple d’amis, les Aragon, décédés en Espagne dans un tragique accident de voiture. Claire, la mère de Marguerite, se donne le beau rôle en recueillant l’orphelin et en l’élevant comme un fils. Marguerite devient donc sa sœur et Andrieux… son parrain. Ainsi, apprend-on au passage, le nom d’Aragon n’est pas un pseudo mais le nom du père putatif, celui de la fiction qui sert de berceau au futur écrivain.
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J’ignorais que le bonheur pouvait être aussi violent. Qu’il pouvait cogner aussi fort. Qu’il pouvait faire aussi mal. Je n’étais pas préparée. »

Une césarienne de confort. Voilà ce qu’il me faudra. On endormira un peu de mon corps, on ouvrira, on prendra le bébé que j’aurai porté, on refermera puis le temps fera son œuvre. Je ne me rendrai compte de rien. Et mon sexe sera intact. Et la question de la peur d’accoucher définitivement réglée. »
Quelqu’un pour lui faire une « césarienne de confort » ? N’ayant que peu d’informations sur la chose, elle n’envisage pas ce que ces deux termes ont d’antinomique.
Cela fait, pour moi, écho à tant de petites phrases terrifiantes et/ou maladroites rapportées par mes patientes, secrètement blessées par des paroles inconsidérément prononcées dans ces moments d’immense fragilité où chaque mot devrait être soigneusement pesé. L’art de parler à bon escient manque à être enseigné…
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L’importance d’avoir une bonne estime de soi

Il est important d’en prendre grand soin car elle ne reste pas fixe. Il est donc nécessaire de l’évaluer régulièrement grâce à l’outil « l’échelle de l’estime de soi de Rosenberg ». Celui-ci est utilisé dans le domaine de la psychologie afin d’aider les personnes à booster leur estime de soi.
L’échelle de l’estime de soi de Rosenberg nous vient de Morris Rosenberg, un professeur et docteur en sociologie qui a consacré plusieurs années de sa vie à l’étude de l’estime de soi et de l’auto-concept.
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Pourquoi les séparations sont-elles si complexes à vivre pour certains ?

Pourquoi les ruptures sont si difficiles à vivre la plupart du temps, pourquoi se séparer fait si mal au point d’avoir peur, parfois pour certains, de mettre fin à une relation ? Même si rompre est devenu banal aujourd’hui, dit-on, car on se quitte même via un simple sms, la blessure, la douleur est bien présente. Que dit de nous cette blessure?  N’est ce pas à la base une problématique du lien, de la relation ?
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Thierry Schneider : « Si je veux être aimé, c’est que je ne m’aime pas »

Est-ce que « vouloir toujours être aimé » est un sentiment qui nous éloigne de nous-même ?Si je veux être aimé, c’est que je ne m’aime pas. Peu d’histoires racontent le bouleversement d’un divorce à travers le regard du père. Pourquoi ce point de vue ? J’ai choisi un héros masculin, mais c’est un artiste, un musicien, qui a une sensibilité, qui sait l’utiliser, qui accepte totalement sa part de féminité et ose accueillir ses émotions. Et finalement dans le livre, il y a autant de personnages féminins que masculins. Pour aborder ce que je nomme le thème « du cœur à cœur », le sentiment amoureux mais également la paternité avaient toute leur place. C’est d’ailleurs la séparation avec ses deux enfants qui va être la plus grande déchirure de Fredo. Face à l’intensité de cette souffrance, il n’a pas d’autre choix que de se remettre en question et de s’ouvrir à d’autres réalités.
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