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L'association "l’Arbre de vie et des sens", œuvre pour les personnes démunies qui en ressentent le besoin par le biais de conférences, de stages et de séances Méthodes Naturelles. Les 10 et 11 octobre 2020 nous organisons 2 journées de conférences. Sur le thème du couple, de la parentalité et des enfants.Dans cette conférence nous aborderons des questions qui nous sont fréquemment posées : Pourquoi j’ai toujours les mêmes difficultés dans mon couple ? Quel est mon projet en tant que parent ? Comment gérer les rivalités dans la fratrie ? Comment mieux communiquer avec nos enfants et les accompagner ? Vous aurez accès à des outils concrets et échangerez à travers des conférences interactives. Un replay sera disponible et pourra être envoyé à toute personne ayant réserver sa place.
Dans ce cadre, nous souhaitions vous assurer que nous mettons en place toutes les mesures sanitaires nécessaires et obligatoires, afin de garantir la bonne tenue et la réussite de cet événement au vu des conditions actuelles. Un rendez-vous de suivi d'une demi-heure vous sera offert avec un thérapeute de l'association afin de lever vos blocages.
Pour en savoir plus :
https://www.larbredevieetdessens.com/Programmeetreservationconferences
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Clivages Hommes/Femmes Ça suffit!

L'enjeu est, autant pour les hommes que pour les femmes, d'apprendre à :
• être assez courageux.se pour être vulnérable,
• être assez fort.e pour être sensible,
• s'affirmer tout en restant empathique,
• s'ouvrir sans se perdre...
Clivages Hommes/Femmes Ça suffit!

À Évreux, une femme de 56 ans condamnée pour avoir violenté son mari de 67 ans

Violences. Une femme de 56 ans domiciliée à Gisors a été jugée par le tribunal d’Évreux pour avoir maltraité son mari, âgé de 67 ans. Dans les affaires de violences conjugales, il arrive parfois que ce soit le conjoint qui soit victime. C’est le cas de cette femme, âgée de 56 ans, qui devait répondre mardi 29 septembre de violences à l'encontre de son mari.

Maltraitance : une enfance en enfer

Maltraitance : une enfance en enfer Mes premiers souvenirs sont vers 6/7 ans : cela commence par une claque parce que je n'ai pas fini mon assiette..Je ne peux pas les appeler aujourd'hui. Petit, j'étais conditionnée, je n'avais pas de référence, comme c'est tous les jours, c'est répétitif, quand je vais passer la porte, je sais ce qui va …
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Le Groupe d’études sur les sexismes (GES) se félicite de la décision de faire passer en juillet 21 le congé paternité de 14 à 28 jours, mesure qui figurait déjà dans son propre programme.

Ce doublement est d’une importance capitale : les premiers jours sont ceux qui permettent à l’enfant, englué dans le cocon maternel, de découvrir qu’il a 2 parents, et au père de commencer le travail de séparation de l’enfant d’avec la mère.Ceci est déterminant pour le reste de sa vie car, comme le disait Guy Corneau, "Père manquant, fils manqué"
Une partie de sept jours serait obligatoire, ce qui peut poser des problèmes économiques. Mais l’enjeu est fondamental, et doit balayer cette objection.
Ceci dit, il ne doit s’agir que d’une nouvelle étape, et le congé a vocation à s’élargir encore.
GES - Groupe d'études sur les sexismes - groupe.etudes.sexismes@gmail.com - www.g-e-s.fr
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