bannierre-newsletter
couple

« féminin libre et du masculin sensible » par Eric Verdier - Accès à la conférence

La souffrance serait-elle plus féminine et la violence plus masculine ? De nombreux dysfonctionnements sociétaux résultent de ces représentations. Sortir de cette impasse sociale dans laquelle nous nous trouvons, est devenu nécessaire pour notre avenir et celui de nos enfants. Dépasser la guerre des sexes ne pourra se faire que dans une optique conjointe féministe et hoministe, c’est-à-dire incarnant une alliance féconde du féminin libre et du masculin sensible.
En savoir plus

Aimer ce qui est

Aimer ce qui est présente une démarche étonnamment simple et pourtant d´une incroyable efficacité pour se libérer du stress et mieux vivre sa vie. « Ce n´est pas la réalité qui nous fait souffrir, nous dit Byron Katie, mais nos pensées sur la réalité. » Le Travail de Byron Katie, fondé sur quatre questions simples et profondes à la fois, …
En savoir plus

Le sens des maladies SEMINAIRE EXCEPTIONNEL Par le Dr Olivier Soulier et le Dr Philippe Dransart

Une rencontre exceptionnelle avec deux médecins homéopathes et pionniers du sens et de la symbolique des maladies. Une rencontre exceptionnelle avec les Docteurs Philippe Dransart et Olivier Soulier sur le thème du sens des maladies. Ces deux médecins, homéopathes et chercheurs de sens, ont développé chacun de leur côté une vision du sens des maladies, à la fois différente et …
En savoir plus

Criminalité : 1 auteur présumé sur 4 est de sexe féminin - Olivier Kaestlé

Le déni n’est pas une solutionIl ne s’agit pas ici de faire passer les femmes autochtones du statut de victimes tous azimuts à celui de prédatrices meurtrières, mais bien de nuancer une réalité qui a grand besoin de l’être.  Toute médaille a son envers, quoi qu’en pensent certaines idéologues qui vivent dans un déni perpétuel de la violence féminine.Le refus d’admettre ce fléau implique de ne jamais en identifier les causes et encore moins de développer des pistes de solution, de guérison et de prévention :...
Comment régler un problème dont on nie l’existence ?Une conclusion générale se dégage de cette étude, riche en statistiques : tout comme dans le cas des prédatrices sexuelles, les contrevenantes toutes catégories restent sans doute sous représentées, mais elles n’en demeurent pas moins sous-estimées au chapitre de leur impact sociétal comme de leur nombre.Cette réalité entraîne deux conséquences fâcheuses : leurs victimes ne sont pas autant reconnues qu’elles le devraient, et la criminalité féminine étant banalisée, ses causes restent ignorées.  Comment régler ou gérer une problématique quand on ferme délibérément les yeux sur ses origines ?

Les agresseuses sexuelles, une problématique taboue et sous-estimée par Olivier Kaestlé

C’est encore à Mme Cortoni que je laisserai le mot de la fin :
La prolifération de cas impliquant des enseignantes au secondaire « aide » à la reconnaissance des agressions sexuelles commises sur des mineurs, mais on se heurte à une problématique de double-standard, comme le précise Mme Cortoni :
« Il y a un changement qui se fait graduellement dans la société. Si on prend l’exemple d’un enseignant de 35 ans qui s’engage dans des contacts sexuels avec une fille de 14 ans, personne n’hésite à dire que ce n’est pas correct. Mais quand on tourne ça à l’inverse, une femme avec un garçon, on dit : “Mais oui, mais les garçons aiment ça”. »« Il faut qu’il y ait une reconnaissance du fait qu’il y a des femmes qui commettent des agressions sexuelles, que ça existe et que ça a toujours existé. Présentement, il y a des victimes qui ne sont pas reconnues et, franchement, comme société, on leur doit au moins ça. »
En savoir plus

Est-il vrai qu'en France un homme meurt tous les treize jours sous les coups de sa conjointe?

Cette statistique, citée par la députée LREM Claire O'Petit, est exacte. Mais elle n'est pas forcément un indicateur pertinent pour illustrer le phénomène des hommes battus ou maltraités. On trouve des statistiques dans l’étude nationale sur les morts violentes au sein du couple. Cette étude annuelle, réalisée depuis une douzaine d’années, retient les meurtres, assassinats, empoisonnements et violences volontaires ayant …
En savoir plus

Hommes battus par leurs femmes

Malmenés physiquement et psychiquement par leur épouse, certains d'entre eux ont choisi de rompre le silence. La violence domestique ne concerne pas seulement les femmes et les enfants
En savoir plus

Quelques différences psychologiques et comportementales entre les hommes et les femmes - Yvon Dallaire

Les hommes voudraient que les femmes…Parlent moins souvent;Soient moins émotives;Se dépensent plus physiquement;Soient moins romantiques;Fassent l’amour plus souvent;S’occupent moins des «autres»;Soient plus rationnelles;....Les femmes voudraient que les hommes…Parlent plus souvent;Soient plus émotifs;Se dépensent moins physiquement;Soient plus romantiques;Soient plus sensuels et moins génital;S’occupent plus des «autres»;Soient plus spontanés;S’occupent plus de leur famille;...
En savoir plus
MailPoet