Nous vous informons que notre page facebook a vu le jour. Nous vous remercions pour votre accueil et voici quelques retours :

"Toutes mes félicitations pour votre engagement ! Je travaille les colères et dépendances via la sexualité ... il y a de bons résultats chez les femmes qui font la démarche ! Bonne continuation."

"Je connais cette violence. Ma belle sœur et ma nièce ont eu cela durant plus de 10 ans"

"Merci de cette invitation sur ce sujet que je trouve nécessaire d'aborder. Quand on parle de violence il est fondamental de remettre à sa place les violences familiales à leur place . À savoir un des lieux majeur de violence. Sortir de la sexualisation est le second tabou à briser. Au delà de ces deux blocages des solutions peuvent être abordées, trouvées,explorées, imaginées. Merci pour l'initiative."

"C'est courageux que d'aborder un tel phénomène... Merci."

"C'est pas vrai !
Vous osez publier et même travailler sur ce sujet ???!!!????
Ça me sidère.

Ça fait des années que j'expose ce sujet et que je me fais traiter de macho !
On progresse !"

"EXCELLENT ! Bravo & merci !"

" La violence féminine existe ainsi que les abus qui vont avec. J'en ai été victime dans mon enfance, placée en orphelinat et autres.
On parles bcp des abus sexuels, des maltraitances en tout genre, dans les pensionnats de garçons. Mais on omet de parle
r de ce qui se passe dans les pensionnats de filles.
Aujourd'hui on commence à ouvrir les yeux sur ce qu'une femme peut commettre de monstrueux sur un enfant. Aujourd'hui les tabous tombent et c très bien. Il était temps.
"

 

Je remercie tous et toutes pour vos partages, vos échanges, votre confiance. Dominique

 

"Nous passons 15 ans à l'école et pas une fois on nous apprend la confiance en soi et l'Amour qui sont les fondements de la vie". Albert Einstein

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Cool Parents make happy kids: L'expérience inspirante d'une maman qui applique l'éducation positive au quotidien

Cool Parents make happy kids: L'expérience inspirante d'une maman qui applique l'éducation positive au quotidien

Privilégier les valeurs aux règles et le dialogue aux punitions, tels sont sans doute les premiers pas à faire pour éduquer autrement. Il y a deux ans déjà, c’était la première rentrée en maternelle de Joy. Que d’enthousiasme à l’idée de cette première rentrée ! Sauf que le lendemain de la rentrée, tout le monde pleurait. La rentrée ne sera pas forcément « facile » ni « simple », je ne vous souhaite donc pas à tout prix une « bonne » rentrée mais qu’elle soit pleine de complicité.

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Minimisation des violences et attachement à l’agresseur

Et puis, peut être grâce à la psychothérapie, la victime va comprendre que c’est tout ce qui lui permet de minimiser qui a justement permis que tout cela arrive. Abusée dès le départ. Trop confiante, trop besoin d’amour ou d’attention, le fait de savoir que parler ne fonctionnera sans doute pas, que des failles dans lesquelles l’agresseur s’est engouffrée. Oui l’agresseur sait que vous teniez à lui, oui il sait que vous avez besoin d’attention et il vous en donne, oui il sait que vous ne parlerez pas. Vous étiez la cible parfaite.

Vous le savez. Et c’est insupportable. Alors vous minimisez car cela génère trop de souffrance.

Vous savez aussi, certains lecteurs ici l’ont appris à leur dépends, que parler, dénoncer, se retourne contre la victime. Car oui, la victime dans nos Sociétés est la personne à abattre, c’est celle qui dérange, c’est elle qui remet en question l’ordre, c’est celle -excusez ma vulgarité- qui fout la merde dans la famille. C’est donc celle qu’on va éviter ou ne pas croire. C’est même à elle parfois qu’on va faire des reproches. Je vous rassure il y a des familles dans lesquelles la victime est écoutée, entendue et soutenue, heureusement.

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La violence sexuelle féminine, six fois plus répandue qu’on le croit…

La violence sexuelle féminine, six fois plus répandue qu’on le croit…

Franca Cortoni ne se fera pas des amies parmi les groupes féministes. La chercheuse et psychologue spécialisée en agressions sexuelles de l’école de criminologie de l’Université de Montréal vient de lancer une véritable attaque frontale contre l’angélisme doctrinaire qui présente inlassablement les femmes comme des êtres inoffensifs à jamais voués au statut d’éternelles victimes des turpitudes sexuelles masculines. Imaginez, l’hérétique vient de publier une recherche qui établit que la violence sexuelle des femmes est six fois plus répandue que ce qu’on imagine.
À notre époque où les perroquets journalistiques nous radotent que la violence conjugale reste un phénomène majoritairement masculin malgré quatre enquêtes sociales générales de Statistique Canada qui en démontrent la parité, l’étude de madame Cortoni représente une fissure additionnelle dans le granit d’un stéréotype persistant.

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La violence faites aux hommes

La violence faites aux hommes

L’objectif de cet article n’est pas de partir un débat à savoir lequel de l’homme ou de la femme est le plus violent, mais plutôt de susciter une réelle prise de conscience de toute la réalité de la violence domestique afin, qu’ensembles, hommes et femmes puissent arriver à l’éradiquer. Pour ce faire, il importe de connaître les réelles dimensions de cette violence plutôt que de rechercher un coupable à punir ou une soi-disant victime à défendre. Il importe d’ouvrir les deux yeux sur la réalité de la violence conjugale, pas seulement un.

Saviez-vous que le mot agresseur est défini comme un adjectif et un nom masculins dans la plupart de nos dictionnaires, sauf dans Antidote.

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Violence conjugale: présumés coupables

Violence conjugale: présumés coupables

Il y a autour de 2200 plaintes par année pour violence conjugale à Québec. Parfois, de fausses accusations sont portées au détriment de la vérité.La violence conjugale est un terrible fléau, comme en témoignent les manchettes chaque jour. Mais, parfois, il arrive que de fausses accusations soient portées au détriment de la vérité. Voici l'histoire d'hommes qui ont comme point commun d'être père et d'avoir été faussement accusés de violence conjugale ou d'agression sexuelle. S'étant sentis «présumés coupables» dès leur arrestation, ils ont eu du mal à faire la preuve de leur innocence. Incursion dans un côté sombre - et tabou - du système de justice.

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Au secours des hommes battus du Maroc

Au secours des hommes battus du Maroc

Une confrontation avec les forces de l’ordre, et une éventuelle plainte, c’est le lourd secret de l’homme battu qui pourrait être rendu public... Une idée insupportable. Alors beaucoup, pétrifiés à l’idée de perdre leurs enfants, se refusent à faire parler les poings. Et les rares qui décident d’obtenir réparation n’osent pas toujours aller jusqu’au bout.

« Je n’ai eu qu’un seul cas d’homme battu dans mon cabinet, explique Me Mourad Bekkouri, avocat au barreau de Rabat. Cet homme était tout le temps insulté et battu par sa femme, qui l’a même frappé une fois au visage avec un couteau. Chaque fois qu’il arrivait dans mon cabinet, il avait une cicatrice et, en colère, il me demandait d’engager une procédure judiciaire. Et puis après il se rétractait. »

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Je n'ai aucun souvenir d'enfance

Je n'ai aucun souvenir d'enfance

Que faire ?
A découvrir
A lire

La Souffrance muette de l’enfant d’Alice Miller
La psychanalyste allemande décèle, dans les oeuvres de Picasso, Buster Keaton et Nietzsche, les expériences traumatiques de leur enfance. Pour faire le lien avec notre propre histoire (Aubier, 1990).

Couper le cordon de Virginie Megglé
Pour identifier, dans nos détresses quotidiennes, les drames anciens qui resurgissent (Eyrolles, 2009).

Être attentif à ses émotions négatives
« Il faut savoir ce qui bloque dans le passé, ce qui fait mal au point de vouloir le garder enfoui, explique Olivier Lockert, hypnothérapeute. Pour cela, il s’agit d’être attentif à ce qui nous fait réagir excessivement, ce qui nous insupporte, et de nous y arrêter : ai-je déjà éprouvé cet agacement ? Quand, pourquoi ? » Le but : remonter peu à peu le fil de nos émotions négatives jusqu’à l’enfance.

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Et pourtant je l'aime...inceste mère/bébé

Je ne souffre pas de flashes parce que cela m'est arrivé avant la mémoire. Ma mère est aveugle, de coeur s'entend, elle ne voit pas l'humanité dans les personnes. Encore moins, dans un enfant. je crois qu'elle ne sait tout simplement pas ce que cela signifie. Quand j'étais bébé, j'étais sa poupée. La poupée qu'on habille et qu'on coiffe, de …

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Couper le cordon Guérir de nos dépendances affectives.

Couper le cordon Guérir de nos dépendances affectives.

De l'impensable à l'impensé. Il suffit parfois de reconnaître notre part de détresse, d’en admettre la légitimité, d’en dénouer quelques causes, pour rendre ses couleurs à notre vie quand le ciel s’obscurcit, et lui insuffler une énergie positive.
Reconnaître la légitimité d’un sentiment pénible ne signifie pas faire appel à la complaisance ni prendre une position de « victime » (du destin, de ses parents, de ses voisins). Mais par la compréhension des faits qu’elle suppose, la reconnaissance aide à se détacher de ce qui fait souffrir. Il s’agit de retrouver dans le malheur, et dans ce qu’il cachait, les bienfaits d’un passé dont on ne parvenait à se dégager de l’emprise. Sachant que tout projet de vie dépend autant de soi, et de sa créativité, que des données de départ, nous irons aux sources de ce qui en nous peut animer le sentiment d‘abandon.

En découvrant en quoi il fait sens, nous y puiserons les « ressources » propres à alimenter notre désir, notre courage, et à ouvrir quelques perspectives plus heureuses.

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La Souffrance muette de l'enfant : Pour faire le lien avec notre propre histoire

La Souffrance muette de l'enfant : Pour faire le lien avec notre propre histoire

Non, tous les enfants humiliés et maltraités ne deviennent pas des monstres ; mais tous les monstres, tous, ont d'abord été des enfants humiliés et maltraités (les pages sur l'enfance de Staline, qui font écho à celles de "c'est pour ton bien" sur l'enfance d'Hitler, sont à ce titre exemplaires). Seule la confrontation avec cette vérité, jusqu'à présent ignorée dans l'ensemble des civilisations, peut sauver l'humanité de l'autodestruction la plus aveugle. L'homme n'est pas "naturellement" destructeur, mais que les mauvais traitements et les humiliations de l'enfance peuvent faire de lui un monstre,

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Je voudrais vous parler de mon rêve : celui de mettre un peu de douceur dans ce monde, ouvrir un espace, une porte, que l'on soit victimes, bourreaux, que chacun puisse un jour se dire "oui, je l'ai été, mais aujourd'hui, je choisis de le reconnaître, de m'ouvrir à d'autres possibilités".


Êtes-vous prêt à y contribuer? Si oui, je vous invite à partager cette lettre en la transférant  à vos connaissances, en faisant connaître ce site, en nous aidant en nous transférant vos commentaires, vos idées, vos textes, vos expériences. Merci.