---

"Javais 5 ans et je me souviens des corps à corps...

J'avais 7 ans et je me souviens des coups à leurs corps, des blessures, du sang et des traces...

J'avais 10 ans et çà ne finissait jamais : tous ces cris et ces chocs dans les nuits de l'enfance...Quand les êtres qu'on aime et qu'on voudrait morts pour que ce soit fini, quand les êtres qu'on aime détruisent tout en se détruisant.

J'avais 15 ans et plein de rêves morts. L'amour était sale, et le corps et le sexe.

A 20 ans, je ne voulais pas grandir. Devenir adulte pour devenir çà et quoi en faire en suite?

Poème offert à l'association Face à Face par Pascale

Face à Face est une association basée à Genève, Suisse, qui travaille sur la prévention, l’information et l’éducation des femmes et des adolescentes ayant des comportements violents.
Elle aide depuis 2001 des femmes et depuis 2006, des adolescents (programme jeunes) à mettre des mots sur des maux, à lutter contre le cercle vicieux de la violence, à maîtriser leur comportement et à parvenir à une nouvelle harmonie dans la famille, et dans le couple.
L’association fait appel à des professionnels : psychologues, médiateurs de la famille, thérapeutes conjugaux. Nos services s’adressent aux particuliers ainsi qu’aux services publics.

 

---
Désir ou besoin ? Quand l’amour crée le manque et la dépendance

Désir ou besoin ? Quand l’amour crée le manque et la dépendance

Si vous avez été amoureux(euse), vous avez peut-être déjà éprouvé des sensations de manque. L’être aimé s’absente, s’éloigne, ou pire, vous quitte et votre cœur s’étreint, votre sang se glace, un monde s’écroule. Ça vous parle ?

La seule idée que cela puisse arriver un jour peut générer un état d’anxiété constant, des crises de panique ou de jalousie, ou à l’inverse une peur de l’engagement et des difficultés à s’attacher.

Si un peu de frustration peut parfois pimenter la relation amoureuse (bande de coquins), le manque quant à lui peut devenir une souffrance chronique. Faisons le point.

Lire la suite.

---
Les liens d’attachement : s’en libérer !

Les liens d’attachement : s’en libérer !

« Avec lui, j’ai enfin trouvé l’amour. » « Si elle me quitte, ma vie est finie. » « Il ne veut plus me parler, je me sens maaaaaal »… Bref. On a tous établi des liens d’attachement avec les autres sans s’en rendre compte. TOUS. Il s’agit en fait de dépendances, émotionnelles, matérielles, narcissiques, etc. On peut avoir trouvé un certain équilibre, mais on n’est pas libre. Parce que notre bien-être dépend des autres.

Alors, les liens d’attachement, c’est quoi en fait ? Et comment fait-on pour s’en libérer ?

Lire la suite.

---
Où commence la violence ?

Où commence la violence ?

« Plus nous enrichissons le vocabulaire d’un enfant, plus nous l’humanisons, plus nous lui offrons la possibilité de penser avant d’agir ». Élever un enfant c’est l’aider à s’autonomiser et ne pas le blâmer pour ses comportements mal ajustés, mais l’aider à les dépasser. À partir de l'enseignement de Françoise Dolto, Danielle Dalloz nous invite à repenser notre façon d'être avec les enfants. Car si la violence subie dans la petite-enfance resurgit à l'adolescence, l'apprentissage du respect génère le respect.

Lire la suite.

---

Femmes violentes, on en parle ?

"Je ne cherche ni pardon ni justification, je veux juste raconter mon histoire. Je suis une femme mariée, avec des enfants petits, j’ai rencontré mon mari voilà dix ans. Pendant un an et demi, nous avons connu la passion. Puis j’ai commencé à péter les plombs. Lors de certaines disputes, je ne peux m’empêcher de lui sauter dessus, de le taper, le griffer… Je cherche des explications à cette colère et à cette violence que je ne comprends pas." Oui, les femmes sont elles aussi capables de cogner, hurler, humilier. Mais le tabou est tel que personne n’ose en parler. Ni les victimes ni les agresseuses, condamnées à vivre avec cette souffrance.

Lire la suite.

---
La violence en direct

La violence en direct

A travers quatre histoires, suivies d'une discussion, Pierre Mezinski décrit la violence quotidienne. Qu'elle dise son nom ou se fasse plus sournoise, l'important est de la reconnaître pour pouvoir lui dire non.

Lire la suite.

---
Le grand livre de toutes les violences

Le grand livre de toutes les violences

De la violence que l'on a en soi, pas toujours facile à maîtriser, aux grandes violences faites aux humains sur la planète, ce livre aborde tous les sujets. Avec des pistes concrètes pour essayer de résoudre les problèmes et des idées neuves pour mieux vivre ensemble. Tout en nous parlant de non-violence, il nous dit l'espoir d'un monde de paix

Lire la suite.

---

La violence des femmes apparaît comme un tabou social et historique. La femme brutale est forcément très minoritaire, très masculine, un peu sorcière, cruelle ou atteinte pathologiquement. Elle sort du rôle maternel, soumis ou victimiste que la société assigne à la femme depuis des générations. Or la violence n'est pas si sexuée qu'on le croit ; l'Histoire le démontre, ainsi que les chiffres en matière de délinquance et de crimes ou les témoignages encore timides d'hommes battus. Il s'agit pour l'auteur de décrypter cette réalité et d'en tirer les conséquences sociales et juridiques. Pourquoi la justice, à crime égal, ne condamne-t-elle pas l'homme et la femme de la même manière ? Infanticides, pédophiles, complices volontaires de leur compagnon : Christophe Régina s'appuie sur de nombreux exemples historiques ainsi que sur une enquête qu'il a lui-même menée auprès d'une centaine de personnes pour dépasser les stéréotypes de genre et interroger la place de la femme dans la société.

Lire la suite.

---
---

Je voudrais vous parler de mon rêve : celui de mettre un peu de douceur dans ce monde, ouvrir un espace, une porte, que l'on soit victimes, bourreaux, que chacun puisse un jour se dire "oui, je l'ai été, mais aujourd'hui, je choisis de le reconnaître, de m'ouvrir à d'autres possibilités".


Êtes-vous prêt à y contribuer? Si oui, je vous invite à partager cette lettre en la transférant  à vos connaissances, en faisant connaître ce site, en nous aidant en nous transférant vos commentaires, vos idées, vos textes, vos expériences. Merci.